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Critique de LaMinuteMAD
Suite des aventures d'Elysa Morand, cette fois-ci non plus sur l'île d'Oléron (voir le Mystère Amélie) mais en Seine-et-Marne, où elle vient d'emménager avec son petit ami et où elle devient la nouvelle capitaine au commissariat de Melun.
Sa première grosse enquête concerne l'assassinat de Laure Fournier, une prof des écoles, sauvagement poignardée dans son établissement ; et comme Elysa, avant d'entrer dans la police, était elle aussi professeure des écoles, il est décidé et autorisé qu'elle enquête de l'intérieur, sous couverture, pour en apprendre plus sur les circonstances de la mort de Mme Fournier. Ses collègues font bien sûr les interrogatoires de rigueur, mais la vérité n'émerge pas spontanément dans pareille situation.
On retrouve la Elysa du roman précédent, qui prend très à coeur son enquête mais aussi les sentiments des gens qu'elle y rencontre.
Pour avoir été moi-même professeure des écoles quelque temps, l'aspect enseignement semble ici montré comme quelque chose de simple et facile, avec finalement assez peu de préparation, ce qui m'a paru, personnellement, pas assez crédible (mais bon, j'étais une prof nulle alors je me laissais déborder).
On a aussi beaucoup (peut-être trop) de passages sur sa vie personnelle qui m'ont beaucoup moins intéressée car ça ralentissait le déroulement de l'enquête et enlevait du dynamisme au roman. D'autant que ces passages intimes n'ont aucun rapport avec l'intrigue. J'ai déjà dû le dire dans d'autres chroniques, les scènes de sexe, ça m'ennuie, surtout dans les polars.
C'est donc un roman policier qui fait presque penser à du cosy crime/chicklit, sauf que l'enquêtrice est bel et bien de la police.
Sa première grosse enquête concerne l'assassinat de Laure Fournier, une prof des écoles, sauvagement poignardée dans son établissement ; et comme Elysa, avant d'entrer dans la police, était elle aussi professeure des écoles, il est décidé et autorisé qu'elle enquête de l'intérieur, sous couverture, pour en apprendre plus sur les circonstances de la mort de Mme Fournier. Ses collègues font bien sûr les interrogatoires de rigueur, mais la vérité n'émerge pas spontanément dans pareille situation.
On retrouve la Elysa du roman précédent, qui prend très à coeur son enquête mais aussi les sentiments des gens qu'elle y rencontre.
Pour avoir été moi-même professeure des écoles quelque temps, l'aspect enseignement semble ici montré comme quelque chose de simple et facile, avec finalement assez peu de préparation, ce qui m'a paru, personnellement, pas assez crédible (mais bon, j'étais une prof nulle alors je me laissais déborder).
On a aussi beaucoup (peut-être trop) de passages sur sa vie personnelle qui m'ont beaucoup moins intéressée car ça ralentissait le déroulement de l'enquête et enlevait du dynamisme au roman. D'autant que ces passages intimes n'ont aucun rapport avec l'intrigue. J'ai déjà dû le dire dans d'autres chroniques, les scènes de sexe, ça m'ennuie, surtout dans les polars.
C'est donc un roman policier qui fait presque penser à du cosy crime/chicklit, sauf que l'enquêtrice est bel et bien de la police.
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