Je n'ai pas lu
Lewis Carroll et la lecture de cet album m'a donné envie de le lire, pour découvrir son humour si particulier, entre absurde et humour anglais.
C'est en 1990 que La Pléiade a consacré un album à Carroll, et c'est
Jean Gattégno qui fut chargé de commenter la très riche iconographie, d'autant plus fournie qu'on y découvre que Carroll fut un pionnier de la photographie et du portrait.
Gattégno se fait discret dans la biographie très classique qu'il propose, mais n'édulcore pas le trouble que tout contemporain ressentira face à la relation très particulière de Carroll avec les petites filles, dont il difficile de se faire une idée juste 150 ans plus tard. Rien d'avéré, mais notre époque a perdu de son innocence et donc de sa naïveté. La défense de Carroll l'emporte donc au bénéfice du doute...
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