Pour seul cortège

[...]Avec l'amour que je porte à Laurent Gaudé, je ne pouvais pas ne pas me précipiter sur son nouveau roman. J'avais une pointe d'appréhension, puisque j'avais modérément accroché à Ouragan, mais j'avais la sensation en lisant la quatrième de couverture que je me retrouverai plus dans le monde de la Mort du roi Tsongor ou des Oliviers du Négus… Alexandre le Grand, ses conquêtes, sa mort, tout ça m'attirait beaucoup et je me suis réservé un petit samedi matin calme, tôt, toute seule dans le salon pour profiter au mieux de ce que je pressentais être une lecture extrêmement agréable.[...]
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