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Critique de Enroute
Le récit ressemble à Notre-Dame-des-Fleurs, mais l'écriture est moins légère ; la fascination qui redit le prodige la rend plus solennelle comme si l'esprit, cette fois, restait aussi enfermé dans ses murs qu'il confesse intimidé le saisissement des sens. Ce parfum-ci corrompt et putréfie comme la moisissure doucereuse des coins humides : l'évasion n'est pas autorisée, on reste prisonnier.
