Magnifique ouvrage que ces
Couleurs de l'invisible, associant les textes (nouvelles ? poèmes ?) de
Sylvie Germain et les dessins de
Rachid Koraïchi. Nous entrons dans un espace métaphysique où l'oeil s'ouvre pour voir autrement. Par les couleurs, il voit, il sent, il écoute et il tend des fils. Un espace où tout se joue : l'enfance, la vie, la mort : "Un rien splendide - tellement plus vaste que le néant. Peut-être."
Encore remplie d'émotion devant tant de sensibilité poétique, je ne peux que vous inviter à vous reporter aux quelques citations données à lire.
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