Aurélien est un homme ordinaire : il a un appartement, un travail, une copine, une famille, des amis de travail.
Rien ne le prédestinait à être petit à petit rayé du champ visuel de son entourage.
En une semaine seulement, il perd son identité et donc sa raison d'être.
Le roman est narré à la troisième personne.
Que lui arrive-t-il ? Pourquoi ? Quel effet cela fait-t-il de tomber dans l'oubli ?
Il se rend compte qu'il est aussi invisible que les SDF que l'on croise sans baisser la tête. Il est
hors champ.
Ce roman montre que l'indifférence et la solitude peuvent mener au désespoir.
J'ai enchaîné les chapitres, avec l'envie constante de connaître le dénouement de cette histoire.
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