Citations sur G. Germanetto. Souvenirs d'un perruquier. Vingt-cinq .. (2)
« Pourquoi ne s’éleva-t-il pas une voix pour appeler à la lutte contre l’ennemi de classe, contre le grand propriétaire foncier, l’usinier, les gendarmes, le roi, le clergé ? Parce que l’organisation politique du prolétariat n’était pas à la hauteur des circonstances »
(au moment de la débâcle de l’armée italienne à Caporetto)
« le parti (socialiste), figé dans une négation passive, ne voyait pas l’action funeste des réformistes, qui avaient mis la main sur les syndicats et collaboraient avec le patronat. Il ne remarquai pas le mécontentement qui se développait au sein des masses et qui s’exprimait par des soulèvements sporadiques »