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Critique de pat823
L'histoire débute par la découverte d'une partition ancienne dans la doublure d'un violoncelle que restaure Grégoire Coblence. Il est ébéniste, associé au luthier Giancarlo Albizon.
Très intrigué, Grégoire demande à une célèbre claveciniste, par l'entremise de son associé, de déchiffrer la partition.
La musicienne est convaincue qu'il s'agit d'une sonate écrite par Domenico Scarlatti, le plus prestigieux des compositeurs pour clavecin. Il serait question de la 556ème sonate de Scarlatti. Ce serait là une découverte inestimable pour le monde musical.
Lorsque le précieux cahier, devenu très convoité, disparaît dans le cambriolage de l'atelier de Grégoire et Gian, c'est la consternation.
Les cinq acteurs de cet épatant roman choral vont se lancer à sa recherche. Ils seront les narrateurs successifs à travers les treize courts chapitres de cette tortueuse partie d'échecs, obsédés par la musique du claveciniste baroque.
Aucune fausse note dans ce roman musical au goût de polar magistralement orchestré.
Hélène Gestern en virtuose a très adroitement mêlé les éléments biographiques réels à sa fiction narrative. C'est captivant et palpitant.
Tous les rouages de cette étonnante histoire sont bien huilés. La romancière sait ménager ses effets en dosant suspense et rebondissements. Et le final est impeccable. L'autrice a peaufiné la résolution de l'énigme, qu'elle détaille sur 47 pages.
Du grand art.
Très intrigué, Grégoire demande à une célèbre claveciniste, par l'entremise de son associé, de déchiffrer la partition.
La musicienne est convaincue qu'il s'agit d'une sonate écrite par Domenico Scarlatti, le plus prestigieux des compositeurs pour clavecin. Il serait question de la 556ème sonate de Scarlatti. Ce serait là une découverte inestimable pour le monde musical.
Lorsque le précieux cahier, devenu très convoité, disparaît dans le cambriolage de l'atelier de Grégoire et Gian, c'est la consternation.
Les cinq acteurs de cet épatant roman choral vont se lancer à sa recherche. Ils seront les narrateurs successifs à travers les treize courts chapitres de cette tortueuse partie d'échecs, obsédés par la musique du claveciniste baroque.
Aucune fausse note dans ce roman musical au goût de polar magistralement orchestré.
Hélène Gestern en virtuose a très adroitement mêlé les éléments biographiques réels à sa fiction narrative. C'est captivant et palpitant.
Tous les rouages de cette étonnante histoire sont bien huilés. La romancière sait ménager ses effets en dosant suspense et rebondissements. Et le final est impeccable. L'autrice a peaufiné la résolution de l'énigme, qu'elle détaille sur 47 pages.
Du grand art.
