En apparence

Ce roman nous permet d'entrer dans le monde des arts, quelquefois interlope.
Myriam Giacometti a bâti son histoire autour du musée Pompidou de Metz, un peu en décalage, avec les éléments de l'Histoire ( XVIIIème), alors que cette institution est dédiée à l'art moderne.
Mon intérêt a baissé au fil des pages car j'ai vite découvert qui était l'assassin de Rachel Clément, en charge des expertise dans ce musée.

J'ai bien aimé cette lecture qui démarre très bien, très vite et fort. Mais, plus les pages avançaient et plus j'ai trouvé ça long. J'ai peiné à finir ce livre dont la fin arrive vraiment dans les dernières pages. Ayant mis du temps à le finir, je me suis un peu perdue dans les personnages, les faits etc... mais les chapitres sont courts ce qui permet une lecture plus fluide.