J'aime beaucoup la peinture et c'est la raison pour laquelle j'ai lu ce roman qui raconte la difficulté d'être une femme peintre dans le Paris des années 1880 à l'Académie Julian. de plus elles ont été oubliées par la grande Histoire. Plutôt que l'intrigue qui ne m'a pas passionné, j'aurais aimé que l'auteur m'en raconte plus sur ces femmes. Cependant un grand merci pour m'avoir parlé d'Amélie Beaury-Saurel, de
Marie Bashkirtseff et de Louise Catherine Breslau.
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