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Critique de zouips
Le Purgatoire des innocents de Karine Giebel "mon coup de coeur"
Après un braquage en plein coeur de Paris qui tourne mal, Raphael son frère William et 2 complices vont trouver une planque qui leur semble idéale : une maison isolée appartenant à une vétérinaire Sandra. Cette dernière pourra soigner William blessé lors du casse, c'est parfait.
Raphaël et sa bande projette d'y rester quelques jours et repartir dès que Will ira mieux.
Sauf que les choses ne vont bien évidemment pas se passer aussi facilement. Ce qu'ils ignorent, c'est qu'en trouvant refuge dans cette demeure, ils viennent de mettre les pieds dans un véritable enfer.
Car Sandra, la vétérinaire, n'est pas la petite oie blanche qu'ils croyaient et son mari, gendarme parti en mission pour traquer un pervers sexuel est bien loin d'être inoffensif.
Les loups sont entrés dans la bergerie mais comme toujours avec l'amie Karine, les apparences sont trompeuses.
Misery est à King ce que Purgatoire des Innocents est désormais à Giebel . L'auteure tape encore très fort avec ce huis-clos éprouvant. L'ambiance devient de plus en plus pesante au fil de l'histoire et le suspense monte crescendo.
Ce roman n'est pas à mettre dans toutes les mains. L'auteure aborde crûment des thématiques qui peuvent gêner (torture, pédophilie, claustrophobie).
Je ne peux pas vous en dire plus quand au déroulement de l'histoire, mais Karine Giébel ne laisse aucun répit au lecteur qui, impuissant face à une situation qui tourne totalement au vinaigre, assiste à une véritable descente aux enfers, Raphaël et Will avaient une chance sur un million de toquer à la mauvaise porte et ce fut le cas, ils sont dans la demeure du diable.
Après un braquage en plein coeur de Paris qui tourne mal, Raphael son frère William et 2 complices vont trouver une planque qui leur semble idéale : une maison isolée appartenant à une vétérinaire Sandra. Cette dernière pourra soigner William blessé lors du casse, c'est parfait.
Raphaël et sa bande projette d'y rester quelques jours et repartir dès que Will ira mieux.
Sauf que les choses ne vont bien évidemment pas se passer aussi facilement. Ce qu'ils ignorent, c'est qu'en trouvant refuge dans cette demeure, ils viennent de mettre les pieds dans un véritable enfer.
Car Sandra, la vétérinaire, n'est pas la petite oie blanche qu'ils croyaient et son mari, gendarme parti en mission pour traquer un pervers sexuel est bien loin d'être inoffensif.
Les loups sont entrés dans la bergerie mais comme toujours avec l'amie Karine, les apparences sont trompeuses.
Misery est à King ce que Purgatoire des Innocents est désormais à Giebel . L'auteure tape encore très fort avec ce huis-clos éprouvant. L'ambiance devient de plus en plus pesante au fil de l'histoire et le suspense monte crescendo.
Ce roman n'est pas à mettre dans toutes les mains. L'auteure aborde crûment des thématiques qui peuvent gêner (torture, pédophilie, claustrophobie).
Je ne peux pas vous en dire plus quand au déroulement de l'histoire, mais Karine Giébel ne laisse aucun répit au lecteur qui, impuissant face à une situation qui tourne totalement au vinaigre, assiste à une véritable descente aux enfers, Raphaël et Will avaient une chance sur un million de toquer à la mauvaise porte et ce fut le cas, ils sont dans la demeure du diable.
