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Critique de Mousse74
J'attendais beaucoup de ce roman de Karine GIEBEL ; j'avais été un peu échaudée à la lecture des Morsures de l'ombre, roman qui m'avait subjuguée, littéralement happée avant que son issue ne soit pour moi une chute brutale qui m'avait glacée… Mais cette lecture avait été tellement envoutante, entraînante que je m'étais malgré tout promis de revenir à cette auteure, par ailleurs très appréciée !
Eh bien, je vais finir par croire que les romans de K. GIEBEL sont tous construits de la même façon ! Car ma lecture a une nouvelle fois été passionnante et j'ai dévoré les 700 et quelques pages de ce roman sombre mais empli de clarté et d'amour. Dans ce livre, K. GIEBEL nous raconte l'histoire d'une famille que la vie n'a pas épargnée : Mona, une mère aimante et courageuse, Jorge, son fils aîné, emprisonné à la suite de crimes pour lesquels il a toujours clamé son innocence, un fils transformé par la prison, empli de rancoeur et de colère mais qui aspire à sa part de bonheur ; et enfin, Léonard, son fils cadet, trouvé dans un fossé et adopté, véritable force de la nature mais dont les facultés cérébrales ont souffert de mauvais sévices subis dans son enfance, un adolescent simple et innocent. Ce dernier m'a d'ailleurs rappelé le personnage de Lennie du roman « Des souris et des hommes » de STEINBECK, que j'ai lu récemment : même surnom, même gabarit, même force, même innocence…
Bon, tout dans ce récit ne m'a convaincue, certains passages sont peut-être trop long, le dénouement de l'enquête est trop rapide et un peu trop évident, mais cela reste néanmoins un très beau roman, qui aborde avec justesse et sans détours des questions dures mais essentielles : l'impartialité et les erreurs de la justice, le droit à la rédemption, à une seconde chance, le sens de l'emprisonnement. Et puis surtout qui parle du pardon et de l'amour, l'amour filial que porte Mona à ses 2 fils, entier et inébranlable, puis l'amour fraternel, que vont découvrir Jorge et Léonard.
Alors forcément, je me suis attachée à ces 3 personnages singuliers, injustement frappés par le destin, ravagés par les mauvais hasards de la vie, qui tentent de conjurer le sort, ensemble, mais aussi à Sacha, Angélique, Vickie. Car le style de l'auteure est percutant, vrai, sincère et il sait nous plonger au plus profond des émotions de ses personnages. Et j'ai souvent eu le coeur serré, l'estomac noué, les yeux mouillés. Mais une nouvelle fois, la fin m'a douloureusement déçue, ou plutôt, elle n'a pas répondu à mon attente, mon besoin de lumière après toutes ces pages de noirceur ! Tant pis pour moi !
Eh bien, je vais finir par croire que les romans de K. GIEBEL sont tous construits de la même façon ! Car ma lecture a une nouvelle fois été passionnante et j'ai dévoré les 700 et quelques pages de ce roman sombre mais empli de clarté et d'amour. Dans ce livre, K. GIEBEL nous raconte l'histoire d'une famille que la vie n'a pas épargnée : Mona, une mère aimante et courageuse, Jorge, son fils aîné, emprisonné à la suite de crimes pour lesquels il a toujours clamé son innocence, un fils transformé par la prison, empli de rancoeur et de colère mais qui aspire à sa part de bonheur ; et enfin, Léonard, son fils cadet, trouvé dans un fossé et adopté, véritable force de la nature mais dont les facultés cérébrales ont souffert de mauvais sévices subis dans son enfance, un adolescent simple et innocent. Ce dernier m'a d'ailleurs rappelé le personnage de Lennie du roman « Des souris et des hommes » de STEINBECK, que j'ai lu récemment : même surnom, même gabarit, même force, même innocence…
Bon, tout dans ce récit ne m'a convaincue, certains passages sont peut-être trop long, le dénouement de l'enquête est trop rapide et un peu trop évident, mais cela reste néanmoins un très beau roman, qui aborde avec justesse et sans détours des questions dures mais essentielles : l'impartialité et les erreurs de la justice, le droit à la rédemption, à une seconde chance, le sens de l'emprisonnement. Et puis surtout qui parle du pardon et de l'amour, l'amour filial que porte Mona à ses 2 fils, entier et inébranlable, puis l'amour fraternel, que vont découvrir Jorge et Léonard.
Alors forcément, je me suis attachée à ces 3 personnages singuliers, injustement frappés par le destin, ravagés par les mauvais hasards de la vie, qui tentent de conjurer le sort, ensemble, mais aussi à Sacha, Angélique, Vickie. Car le style de l'auteure est percutant, vrai, sincère et il sait nous plonger au plus profond des émotions de ses personnages. Et j'ai souvent eu le coeur serré, l'estomac noué, les yeux mouillés. Mais une nouvelle fois, la fin m'a douloureusement déçue, ou plutôt, elle n'a pas répondu à mon attente, mon besoin de lumière après toutes ces pages de noirceur ! Tant pis pour moi !
