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Critique de Jeup
Près de Allos, Vincent Lapaz, guide de montagne ne se remet pas de la fuite de Laure, l'amour de sa vie. Servane Breitenbach jeune gendarmette, débarque de Colmar (Haut Rhin Alsace) pour sa première affectation à Colmars (Alpes de Haute Provence) au moment ou Pierre fait une chute mortelle.
Dans ce décor, que Karine Giebel magnifie pour en faire un véritable personnage de son roman, des hommes se toisent, se battent, règlent d'anciennes histoires. L'auteur décrit la vie de cette communauté humaine avec ses archétypes : le maire, le gendarme, le curé, le berger, le guide, la jeune femme néophyte.
L'enquête permet de brosser quelques jolis portraits, les personnages sont attachants parfois complexes. On retrouve l'importance des racines associée à l'impact de l'éducation parentale pour construire l'humain.
La lecture est agréable, fluide mais malgré quelques surprises, l'ensemble reste assez prévisible.
Dans ce décor, que Karine Giebel magnifie pour en faire un véritable personnage de son roman, des hommes se toisent, se battent, règlent d'anciennes histoires. L'auteur décrit la vie de cette communauté humaine avec ses archétypes : le maire, le gendarme, le curé, le berger, le guide, la jeune femme néophyte.
L'enquête permet de brosser quelques jolis portraits, les personnages sont attachants parfois complexes. On retrouve l'importance des racines associée à l'impact de l'éducation parentale pour construire l'humain.
La lecture est agréable, fluide mais malgré quelques surprises, l'ensemble reste assez prévisible.
