Je n'avais jamais lu
Franz-Olivier Giesbert et je dois dire que j'ai dévoré "
Le schmock". Giesbert a expliqué avoir voulu écrire sur ces allemands et sur ces juifs qui, nombreux, n'ont pas cru à la montée du nazisme, ont composé ou n'ont pas fui. Il dresse des portraits attachants, ne cache rien des complexités de l'âme humaine et livre une charge sur
le schmock (Hitler) et sur les horreurs de cette période. C'est un roman mais quelque part aussi une page d'histoire.
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