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Critique de Monrevedete
Je ne vais pas être originale si je vous dis que ce qui m'a attirée dans ce roman, c'est sa couverture. Comme beaucoup !
Tout commençait bien, pourtant, au début, j'ai eu un peu de mal. Je ne connaissais pas encore la plume de l'autrice, et si je l'ai vite trouvée légère et agréable, tout allait trop vite. Les révélations arrivaient trop rapidement. Tout se bousculait à une vitesse folle alors qu'on ne connaissait pas encore les personnages, ce qui m'a déstabilisée. J'ai eu peur de ne pas aimer, ce qui m'aurait peinée tant ce livre me faisait envie depuis sa sortie.
Et puis, au fil des pages, l'histoire se met en place et prend un rythme plus normal. On comprend vite qu'on va traiter d'un sujet sensible, assez peu abordé en littérature, à savoir le handicap. Mais, bien que lourds et difficiles, les thèmes sont abordés avec douceur et délicatesse sans jamais tomber dans le pathos ou le larmoyant, loin de là. C'est au contraire positif et plein d'espoir.
Nous alternons entre passé et présent pour comprendre ce qui a fait qu'on en arrive là. Cela donne un rythme au récit et permet d'aborder le thème de la mémoire à travers le personnage de Connie. Pourquoi a-t-elle occulté une partie de son passé ? Et surtout, pourquoi ses parents lui ont-ils caché l'existence de ce frère si longtemps ? Car avant tout, le coeur même de ce roman, c'est les liens familiaux et plus encore ces liens fraternels qui me touchent tant.
J'ai adoré la relation qu'entretient Connie avec Mat. Elle tente par tous les moyens de rattraper le temps perdu et on voit leur relation évoluer au fil du roman.
Entre grand amour, lien familiaux et culpabilité, on aborde le poids du passé et de la mémoire. Je n'avais rien vu venir du dénouement qui m'a touchée. Les secrets au sein de la famille peuvent briser ses membres, ou au contraire consolider leurs liens. Encore faut-il être capable de pardonner…
Plein de bienveillance et de bons sentiments, cette histoire m'a donné très envie de découvrir les autres romans de l'autrice.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Tout commençait bien, pourtant, au début, j'ai eu un peu de mal. Je ne connaissais pas encore la plume de l'autrice, et si je l'ai vite trouvée légère et agréable, tout allait trop vite. Les révélations arrivaient trop rapidement. Tout se bousculait à une vitesse folle alors qu'on ne connaissait pas encore les personnages, ce qui m'a déstabilisée. J'ai eu peur de ne pas aimer, ce qui m'aurait peinée tant ce livre me faisait envie depuis sa sortie.
Et puis, au fil des pages, l'histoire se met en place et prend un rythme plus normal. On comprend vite qu'on va traiter d'un sujet sensible, assez peu abordé en littérature, à savoir le handicap. Mais, bien que lourds et difficiles, les thèmes sont abordés avec douceur et délicatesse sans jamais tomber dans le pathos ou le larmoyant, loin de là. C'est au contraire positif et plein d'espoir.
Nous alternons entre passé et présent pour comprendre ce qui a fait qu'on en arrive là. Cela donne un rythme au récit et permet d'aborder le thème de la mémoire à travers le personnage de Connie. Pourquoi a-t-elle occulté une partie de son passé ? Et surtout, pourquoi ses parents lui ont-ils caché l'existence de ce frère si longtemps ? Car avant tout, le coeur même de ce roman, c'est les liens familiaux et plus encore ces liens fraternels qui me touchent tant.
J'ai adoré la relation qu'entretient Connie avec Mat. Elle tente par tous les moyens de rattraper le temps perdu et on voit leur relation évoluer au fil du roman.
Entre grand amour, lien familiaux et culpabilité, on aborde le poids du passé et de la mémoire. Je n'avais rien vu venir du dénouement qui m'a touchée. Les secrets au sein de la famille peuvent briser ses membres, ou au contraire consolider leurs liens. Encore faut-il être capable de pardonner…
Plein de bienveillance et de bons sentiments, cette histoire m'a donné très envie de découvrir les autres romans de l'autrice.
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