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Critique de TheRealMicky147
Le voici, le voilà ! Que dire du nouveau roman de @serena_giuliano_, à part que ce fut un véritable coup de coeur 💛
Une écriture plus fluide et plus affirmée pour ce second livre, où l'autrice nous fait voyager en Italie. Portée par une palette de personnages, cette histoire d'apparence simple est beaucoup plus profonde et temporellement actuelle que l'on peut le croire. Nous suivons la vie de Sofia qui vient de revenir en Italie après une rupture douloureuse et qui se pose plein de questions. Très proche des habitants de son village elle les retrouve au fameux Mamma Maria, un café qui est comme une deuxième maison pour tous ces protagonistes. Maria c'est l'autre personnage que l'on va suivre. Véritable institution dans le village, on apprend à découvrir une dame passionnée par son « métier » et marquée par la vie.
Quand on connaît et suit Serena on arrive à retrouver certaines parties de son caractère et de sa vie à travers c'est mots et ça c'est beau !
Je ne préfère pas en dire trop pour garder le mystère de l'intrigue mais Serena aborde avec brio des thèmes importants tout en nous faisant rire (et pleurer aussi). Elle nous fait voyager à travers son Italie natale et tous ces personnages qu'ils soient principaux ou secondaires, bons ou mauvais. En plus de cela c'est sans doute l'une des plus belles couvertures de romans. On s'imagine clairement posé dans ce petit coin de Paradis pour y déguster un café ou un gelato.
Par contre une chose que je ne cautionne pas c'est la manque de respect que Serena a pour les lecteurs/lectrices : ce livre donne envie de bouffer mais alors comme jamais. C'est limite un calvaire car on a envie de tout goûter. A chaque mot de bouffe nus voilà sur Google images pour s'imaginer avec le plat out le dessert ou même le cocktail !
Ça sort aujourd'hui et si tu cherches un roman à la fois divertissant et touchant je ne peux que te conseiller que de te ruer sur Mamma Maria ! Et écoutes la chanson de Ricchi e Poveri tu vas vouloir bouger ton boule comme jaja !
Une écriture plus fluide et plus affirmée pour ce second livre, où l'autrice nous fait voyager en Italie. Portée par une palette de personnages, cette histoire d'apparence simple est beaucoup plus profonde et temporellement actuelle que l'on peut le croire. Nous suivons la vie de Sofia qui vient de revenir en Italie après une rupture douloureuse et qui se pose plein de questions. Très proche des habitants de son village elle les retrouve au fameux Mamma Maria, un café qui est comme une deuxième maison pour tous ces protagonistes. Maria c'est l'autre personnage que l'on va suivre. Véritable institution dans le village, on apprend à découvrir une dame passionnée par son « métier » et marquée par la vie.
Quand on connaît et suit Serena on arrive à retrouver certaines parties de son caractère et de sa vie à travers c'est mots et ça c'est beau !
Je ne préfère pas en dire trop pour garder le mystère de l'intrigue mais Serena aborde avec brio des thèmes importants tout en nous faisant rire (et pleurer aussi). Elle nous fait voyager à travers son Italie natale et tous ces personnages qu'ils soient principaux ou secondaires, bons ou mauvais. En plus de cela c'est sans doute l'une des plus belles couvertures de romans. On s'imagine clairement posé dans ce petit coin de Paradis pour y déguster un café ou un gelato.
Par contre une chose que je ne cautionne pas c'est la manque de respect que Serena a pour les lecteurs/lectrices : ce livre donne envie de bouffer mais alors comme jamais. C'est limite un calvaire car on a envie de tout goûter. A chaque mot de bouffe nus voilà sur Google images pour s'imaginer avec le plat out le dessert ou même le cocktail !
Ça sort aujourd'hui et si tu cherches un roman à la fois divertissant et touchant je ne peux que te conseiller que de te ruer sur Mamma Maria ! Et écoutes la chanson de Ricchi e Poveri tu vas vouloir bouger ton boule comme jaja !
