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Serena Giuliano, c'est recevoir en plein coeur un shoot de bonne humeur, ensoleillé à souhait, drôle à foison, vitaminé, tendre et dépaysant (bien mieux qu'un rail de coke, enfin je crois, j'ai jamais essayé. Beurk ! )
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Serena Giuliano, c'est ressentir à chaque chapitre l'envie irrépressible de s'envoyer un tiramisu (à défaut d'un italien...) à n'importe quelle heure de la journée. Tant pis pour la culotte de cheval (notez qu'avec un vrai italien, un étalon quoi, on n'aurait pas ce problème...).
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Serena Giuliano, c'est rencontrer des personnages "Mr et Mme Tout le Monde" où chacun sera libre de s'identifier facilement. Elle a l'art de les croquer délicieusement (gourmande !). Ici, la simplicité de la vie de cette femme de ménage m'a particulièrement plu, et émue. Métier de l'ombre, souvent relégué au second plan, il brille ici par son humanité. Et son utilité. Partout, les petites mains sont indispensables.
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Serena Giuliano, c'est comme retrouver une bonne copine (celle du collège, si, vous vous souvenez, la plus timbrée, celle à côté de qui toutes voulaient s'assoir sans l'avouer), et s'assoir avec elle, au soleil sur un banc, un verre à la maison se raconter les dernières nouvelles. le temps qui passe. Ses petits malheurs, ses grands bonheurs, ses doutes et tous ses espoirs.
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Serena Giuliano devrait être remboursé par la sécurité sociale (au point où en est le trou, un peu plus profond ou pas...) gage d'un peu de bonheur le temps de quelques pages...
Lire Serena m'a apporté en ces temps troublés de la... sérénité. Merci pour ça ❤. Infiniment ❤