Assommant ! «
Qui touche à mon corps je le tue » c'est typiquement le type de bouquin que je déteste. le thème était intéressant et je me suis lancée dans cette lecture plutôt confiante. Hélas, j'ai détesté le traitement du sujet et surtout le style de
Valentine Goby. Que l'écriture est prétentieuse ! C'est artificiel, tout semble fabriqué pour sonner intelligent, c'est inutilement alambiqué. Cette complication dans l'écriture semble crier « regarde comme j'écris avec du style et regarde comme ce que je raconte est intelligent ». Justement, je ne trouve pas. Ce manque de simplicité est un symptôme du manque de style et semble vouloir cacher sa vacuité derrière des dorures.
Je me suis beaucoup ennuyée lors de cette lecture malgré la brièveté du roman (137 pages). En fait, c'était pire que de l'ennui et j'ai fini le bouquin en diagonale.
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