La mer ne retient pas éternellement la digue.
C’était peut-être ça, la ligne d’Icare. La trajectoire d’un individu dans l’Univers. La trace qu’il laisse lors de son passage sur terre. Sa vie, son histoire.
Angelo avait toujours trouvé drôle cette volonté de vivre en société tout en se tenant le plus éloigné possible de ses semblables.
Quand tu as toujours l'impression d'être face à un mur, il y a quand même une solution quelque part, un peu de lumière pour percer le noir, une échappatoire à toute prison.
La physique n'est qu'un code qu'il nous faut élucider pour trouver les réponses de nos origines
C'était un de leurs points de divergence. Elle était ancrée dans le sol, enfermée dans un quotidien étouffant au milieu d'une ville en perpétuelle expansion ; lui s'était envolé dans les étoiles.
Après ça, quand tu regarderas les étoiles, tu ressentiras, je pense, l'émotion que je préfère au monde : l'émerveillement, l'adrénaline du rêve, la réalisation... non, la concrétisation de l'incroyable.
Si le temps ne rend pas ceux qu'il prend, il étouffe la souffrance de ceux qui restent.
Ca démarrait bien, un roman aux dispositions policières assez classiques mais efficaces, suffisamment bien écrit pour que l'on se prenne au jeu de vouloir en savoir plus (indice : je l'ai lu en vacances). Puis le rythme se perd laissant entrevoir la possibilité que tout retombe comme un soufflé. L'auteur, pourtant, se débat, accélère la cadence, se met à doublement tisser (ficeler?) son histoire avec des mailles très épaisses... Coûtures trop apparentes ? Je cherche encore la signification de certains personnages qui me semblent exister que pour boucher des trous (Eric). Je referme le bouquin achevé mais décu de ma décision (j'aurai une nouvelle fois cédé aux sirènes de la facilité). Décidément pas fan du roman de vacances.
Tant que vos projets ne mettent pas en péril votre vie ou votre santé, osez !