Rire, c’est prendre le risque de paraître insensé. Pleurer, c’est prendre le risque de paraître sentimental. Montrer ses faiblesses, c’est prendre le risque de montrer sa vulnérabilité. Parler de ses rêves, c’est prendre le risque d’essuyer des moqueries. Vivre, c’est prendre le risque d’échouer. Mais la plus grande tragédie dans l’existence, c’est de ne rien risquer du tout, de craindre de forcer le destin. Entre l’envie et le regret, il existe une troisième voie : l’action. La mienne est d’entreprendre une longue marche, seul, sur plusieurs semaines