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Critique de ninamarijo
Journal d'un fou- perspective Nevsky et Portrait
Dans le journal d'un fou, un fonctionnaire minable petit tâcheron insignifiant et souffrant d'humiliation au travail s'éprend de la fille de son directeur, son amour impossible lui fait fuir sa condition et sombrer dans la folie… Il monologue ou parle avec les chiens et se proclame roi d'Espagne ! Dans cette nouvelle Gogol nous rappelle de façon cruelle les règles de la société du XIX et leur respect impitoyable.
Perspective Nevsky :
Ici nous assistons à la déambulation sur la perspective Nevsky lieu où tout le monde vient paraître, se montrer. On y croise le « tout » Pétersbourg et « les autres, le peuple russe, mais, à des heures différentes. « Quelles fantasmagories s'y jouent ! Quels changements s'y déroulent en l'espace d'une seule journée ». Voir et paraître est l'occupation de cette artère, Gogol est sans concession dans sa description d'où il émane malgré tout un certain charme. Son écriture est pétillante drôle, fantaisiste. Mais tout cela n'est pas gratuit il égratigne la société russe du XIX.
La nouvelle le portrait j'ai moins accroché.
Dans le journal d'un fou, un fonctionnaire minable petit tâcheron insignifiant et souffrant d'humiliation au travail s'éprend de la fille de son directeur, son amour impossible lui fait fuir sa condition et sombrer dans la folie… Il monologue ou parle avec les chiens et se proclame roi d'Espagne ! Dans cette nouvelle Gogol nous rappelle de façon cruelle les règles de la société du XIX et leur respect impitoyable.
Perspective Nevsky :
Ici nous assistons à la déambulation sur la perspective Nevsky lieu où tout le monde vient paraître, se montrer. On y croise le « tout » Pétersbourg et « les autres, le peuple russe, mais, à des heures différentes. « Quelles fantasmagories s'y jouent ! Quels changements s'y déroulent en l'espace d'une seule journée ». Voir et paraître est l'occupation de cette artère, Gogol est sans concession dans sa description d'où il émane malgré tout un certain charme. Son écriture est pétillante drôle, fantaisiste. Mais tout cela n'est pas gratuit il égratigne la société russe du XIX.
La nouvelle le portrait j'ai moins accroché.
