Un neuvième chapitre hautement épique qui a lui seul vaut la lecture de ce court roman d'aventures. On y ajoute des descriptions superbes de la steppe, nature sauvage parcourues par nos indomptables Cosaques. Dans ces chapitres-là, cette histoire est grandiose.
Par contre, la xénophobie des Cosaques à l'encontre des autres peuples et religions est tellement insistante que cela m'a gêné à plusieurs reprises...
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