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Critique de Odlag
J'ai adoré ce tome, même si je l'ai trouvé terriblement frustrant (positivement parlant, bien sûr : cf. explication ci-dessous).
Après avoir été grièvement blessé lors d'un combat avec des soldats de l'Ordre Impérial, Richard est soigné par Nicci, de manière fort peu habituelle : grâce à la Magie Soustractive. A son réveil, Richard veut savoir où se trouve sa femme, Kalhan. Problème : ni Nicci, ni Cara, ni même le reste de ses hommes, ne connaît cette femme. Pour eux, elle n'existe pas. Nicci est alors persuadée que Richard s'est créé une femme imaginaire afin de supporter la souffrance due à sa blessure, et qu'à son réveil, il s'est révélé incapable de faire la différence entre le rêve et la réalité.
Mais Richard sait que sa chère épouse existe, que sa disparition risque d'avoir de graves conséquences, et va tout faire pour la retrouver, tandis que ses amis font tout pour le convaincre qu'elle n'est pas réelle et qu'il doit à tout prix se consacrer au combat contre l'Ordre. le chemin de la vérité sera plein d'obstacles pour Richard, car comment peut-il continuer à croire en lui-même quand toutes les preuves tangibles sont contre ses arguments et que personne ne veut le croire ?
Ce qui m'a terriblement frustré dans cette histoire, c'est justement le fait que personne ne veut croire Richard. Il a toujours tout fait pour aider ses amis, il est toujours parvenu à régler les problèmes rencontrés au fil de leurs aventures, et pourtant, au moment où il a le plus besoin d'eux, ils refusent de le croire. Personnellement, ça m'a frustré autant que Richard était frustré de ne pas parvenir à convaincre ses proches de l'existence de Kalhan. C'est impressionnant à quel point on ressent les sentiments du personnage.
De plus, on ne voit pas Kalhan pendant presque tout le tome. Par conséquent, on ne sait pas du tout ce qui lui est arrivé. Tout au long du livre, on se demande, comme Richard, où elle a bien pu passer, ce qui a bien pu se passer pour qu'elle disparaisse d'un coup, y compris de la mémoire des gens.
Le suspense mis en place dans ce tome est vraiment efficace. J'ai eu du mal à arrêter la lecture, tellement je désirais connaître les réponses à toutes ces questions que Richard, et moi-même, nous posions.
Ici, Terry Goodkind accomplit une véritable prouesse ! Alors que les tomes 7 et 8 (surtout le 7), étaient quelque peu décevants, il revient en force avec ce neuvième tome au suspense intenable, où l'on se sent plus proche que jamais du personnage de Richard, seul contre tous. D'autant plus que, même si Richard a pu obtenir quelques réponses, ses problèmes ne se résolvent pas à la fin, soit : la suite au prochain tome.
Après avoir été grièvement blessé lors d'un combat avec des soldats de l'Ordre Impérial, Richard est soigné par Nicci, de manière fort peu habituelle : grâce à la Magie Soustractive. A son réveil, Richard veut savoir où se trouve sa femme, Kalhan. Problème : ni Nicci, ni Cara, ni même le reste de ses hommes, ne connaît cette femme. Pour eux, elle n'existe pas. Nicci est alors persuadée que Richard s'est créé une femme imaginaire afin de supporter la souffrance due à sa blessure, et qu'à son réveil, il s'est révélé incapable de faire la différence entre le rêve et la réalité.
Mais Richard sait que sa chère épouse existe, que sa disparition risque d'avoir de graves conséquences, et va tout faire pour la retrouver, tandis que ses amis font tout pour le convaincre qu'elle n'est pas réelle et qu'il doit à tout prix se consacrer au combat contre l'Ordre. le chemin de la vérité sera plein d'obstacles pour Richard, car comment peut-il continuer à croire en lui-même quand toutes les preuves tangibles sont contre ses arguments et que personne ne veut le croire ?
Ce qui m'a terriblement frustré dans cette histoire, c'est justement le fait que personne ne veut croire Richard. Il a toujours tout fait pour aider ses amis, il est toujours parvenu à régler les problèmes rencontrés au fil de leurs aventures, et pourtant, au moment où il a le plus besoin d'eux, ils refusent de le croire. Personnellement, ça m'a frustré autant que Richard était frustré de ne pas parvenir à convaincre ses proches de l'existence de Kalhan. C'est impressionnant à quel point on ressent les sentiments du personnage.
De plus, on ne voit pas Kalhan pendant presque tout le tome. Par conséquent, on ne sait pas du tout ce qui lui est arrivé. Tout au long du livre, on se demande, comme Richard, où elle a bien pu passer, ce qui a bien pu se passer pour qu'elle disparaisse d'un coup, y compris de la mémoire des gens.
Le suspense mis en place dans ce tome est vraiment efficace. J'ai eu du mal à arrêter la lecture, tellement je désirais connaître les réponses à toutes ces questions que Richard, et moi-même, nous posions.
Ici, Terry Goodkind accomplit une véritable prouesse ! Alors que les tomes 7 et 8 (surtout le 7), étaient quelque peu décevants, il revient en force avec ce neuvième tome au suspense intenable, où l'on se sent plus proche que jamais du personnage de Richard, seul contre tous. D'autant plus que, même si Richard a pu obtenir quelques réponses, ses problèmes ne se résolvent pas à la fin, soit : la suite au prochain tome.
