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Un roman pour ado ? ouais, mais pour grands ados alors... Parce qu'il est consistant ce roman tout de même ! Tant en nombre de pages qu'en contenu. Alors c'est évident : protection de l'environnement=bien / controle des personnes et de leur vie=pas bien. Sauf que... certaines tournures de phrases, pleines de sous-entendus, donnent de la crédibilité à ce qu'essaie de faire la Mère Nourricière (controle, control, controle). Tout n'est pas tout noir ni tout blanc. Les gentils veulent offrir la vraie liberté mais commettent des actes criminels, les "méchants" manipulent la population mais dans un but apparemment altruiste.
Un roman qui présente les deux points de vue. Ok, les "gentils" sont privilégiés (et de loin) mais quand même...
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Une île dont on ne sait rien ou presque, sur laquelle Honor et sa famille s'installent en provenance des îles du Nord.
Une école où les enfants sont élevés suivant des préceptes imposés par la Mère Nourricière.
Un univers où chaque mot, chaque geste, chaque regard est scruté, où le moindre écart est susceptible d'entraîner votre disparition.
Mais tout cela est-il bien réel ? Et que se passe-t-il de l'autre côté de l'île ?

Le lecteur suit le parcours de la petite Honor, qui ne va cesser d'osciller entre phases de révolte et soumission la plus totale. Une jeune fille qui va devoir se construire dans un monde oppressant, une oppression dont elle a parfois conscience mais qui est aussi confortable en ce sens qu'elle permet de ne pas avoir à penser, à réfléchir.

Peut-être est-ce d'ailleurs pour cette raison que le livre avance parfois sur une espèce de faux rythme, sans beaucoup de péripéties ou de rebondissements. Tout est réglé, la vie d'Honor, son apprentissage des règles de base de l'île, les codes de la société dans laquelle elle évolue, comme notre lecture est réglée, les journées d'Honor à l'école, notre apprentissage et notre compréhension progressives de ce monde dystopique.

Voilà sans doute ce qui m'a le plus plu à l'issue de cette lecture. M'apercevoir que l'auteur, Allegra Goodman, parvient l'air de rien à poser nombre de questions délicates, à faire réfléchir le lecteur jusque dans son style d'écriture, et sans verser dans le manichéisme ou dans un simplisme excessif.
Et aussi ne pas avoir de réponse(s) à l'issue de la lecture. Si ce n'est au travers des derniers mots d'Honor, où l'on devine quelle pourrait être le devenir de ce monde aseptisé.
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Honor, une jeune fille de 10 ans, vient d'emménager sur l' île 365 avec ses parents. Les habitants de cette île sont, selon la Compagnie et sa propagande, guidés et conduits par la mère Nourricière. Celle-ci a mis en place l'Enceinte, censée protéger la Terre des catastrophes climatiques qui ont réduit les continents à de simples petites îles lors du Déluge. Les règles que la Mère Nourricière a instaurées sont très strictes, tout est contrôlé et organisé, chacun a une place définie dans la société et doit obéir à la Compagnie. La plupart de la population se soumet à ces lois, mais certaines personnes y désobéissent en cachette, notamment les parents d'Honor, qui veulent retrouver leur liberté. Pour protéger sa famille, Honor va devenir une élève exemplaire, au désespoir des ses parents. Mais l' Enceinte est-elle aussi bienveillante qu'elle veut le paraître ? C'est ce qu'Honor va découvrir...

Ce roman de science-fiction est agréable et facile à lire. J'ai trouvé qu'il y avait de bonnes idées et que l'histoire nous faisait réfléchir sur la façon dont on se serait comporté à la place d'Honor.
Néanmoins, je pense que l'histoire est un peu plate et qu'elle manque d'action, le déroulement du récit est un peut trop lent à mon goût. Je trouve également que le titre ne correspond pas trop à l'histoire, ou qu'on ne parle pas assez de cet autre côté de l'île.
Toutefois, j'estime dommage qu'il n'y ait pas une suite à ce livre car j'ai bien aimé le lire, cela m'a fait réfléchir et je le conseille à tout type de lecteur.

En lisant ce roman, j'ai ressenti de l'appréhension quant à l'avenir de la Terre. Nul ne peut prévenir l'avenir, mais qui nous dit qu'il ne sera pas semblable à celui de l'histoire ?
J'ai également ressenti de la peine quand Honor a découvert qu'on avait emmené ses parents, cela doit être vraiment horrible, et nous allons malheureusement tous devoir sûrement passer par cette épreuve dans la vie, car Honor pense que ses parents sont morts.
Enfin, j'ai ressenti de la joie quand les parents d'Honor et ses complices se sont emparés de la station météo, car c'est le premier pas vers le renversement de l'Enceinte. J'aime quand les histoires se finissent bien et c'est le cas ici !

S'il y a une phrase qui m'a touchée et m'a fait réfléchir c'est celle-ci : Quintilian et elle n'avaient aucune photo de leurs parents et elle craignait de finir comme Eglantine qui avait totalement oublié à quoi ressemblaient sa mère et son père. Je pense qu'arriver au point de ne plus savoir à quoi ressemble ceux qui nous ont élevés est très démoralisant. J'espère ne pas devoir être confronté à cette situation dans la vraie vie.
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Honor vient d'arriver avec ses parents sur l'île 365. Ici, la Communauté vit en sécurité, à l'abri des catastrophes climatiques, grâce au Nouveau Climat mis en place par la Mère Nourricière. C'est du moins ce que prétendent les manuels scolaires et les messages de propagande officiels. Mais est-ce bien la vérité ? Les parents d'Honor en doutent. Ils refusent de céder à la peur, et de sacrifier leur liberté au nom de la Sécurité. Ils sortent le soir, après le couvre-feu ; or, ce n'est Pas Autorisé. Ils se mettent en danger. Honor, elle, veut s'intégrer dans sa nouvelle école, se faire des amies, et ressembler aux autres filles de son âge. Alors, sans se poser de questions, elle apprend par coeur ses leçons, et récite, docilement : « Qu'est-ce que la liberté ? Qu'est-ce que le choix ? Les mots ne sont que des mots. Nous avons besoin de Sécurité. Nous avons besoin d'être protégés des éléments. »

L'avis de Nils, 13 ans : C'est un livre un peu futuriste, relatant la vie d'un groupe de jeunes élevés par des professeurs, loin de tout. Ils sont censés devenir l'élite de l'humanité en abandonnant leurs sentiments, mais un jour ils ressentent l'appel de la liberté… Une histoire palpitante qui nous empêche de refermer ce livre avant de l'avoir fini. 

L'avis de la rédaction : Un roman bien écrit et construit, agréable et facile à lire, très prenant, qui nous plonge dans un univers futuriste inquiétant, où un pouvoir dictatorial utilise la peur pour contrôler une communauté humaine. À ce thème, classique dans la littérature d'anticipation, se superpose un autre, qui fait toute l'originalité du roman : à travers le personnage d'Honor, qui s'efforce de ressembler aux autres filles et qui a honte de ne pas avoir une famille “normale”, l'auteur aborde un aspect de la psychologie de l'enfance et de l'adolescence, à savoir la difficulté à assumer ses différences.
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Dystopie : un monde (une île) où les individus sont contrôlés. Sauf que le héros se pose beaucoup de questions et décide de chercher des réponses coûte que coûte. Un roman sympathique mais qui fait beaucoup trop écho au Passeur ... Bref un roman (niveau collège) pas incontournable mais pas désagréable non plus.
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Honor et sa famille emménagent sur l'île 365. Sur cette île, tout est organisé selon les préceptes de la Mère nourricière, qui a réussi à protéger le monde grâce à l'Enceinte, derrière laquelle les grands bouleversements climatiques n'affectent plus l'homme. Les saisons n'existent plus. Tout est numéroté, encadré, censuré. Même les souvenirs s'effacent, permettant ainsi à la Mère nourricière de mieux inculquer ses règles.
Honor semble s'adapter à cette nouvelle vie. Pour se faire des amies, pour être « comme les autres », elle se coule dans le moule et si elle se révolte, c'est plutôt contre ses parents qui se plient difficilement aux règles et conçoivent même un second enfant dans la désapprobation générale.
Mais un jour, les parents d'Honor disparaissent. Et la voici qui commence à se poser des questions...

"De l'autre côté de l'île" est un récit d'anticipation, une dystopie. On imagine un futur glaçant où sous prétexte de protéger la population des désordres climatiques, on lui dicte tout ce qu'elle doit faire, ce qu'elle doit penser, comment elle doit vivre. La jeune héroïne, tout d'abord soumise, va entrer en rébellion. La prise de conscience d'Honor permettra de terminer sur une note d'espoir.
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Ce petit roman a été le premier livre de dystopie que j'ai lu, alors que je n'étais encore qu'au collège et que je ne connaissais même pas l'existence de ce mot. Ce fut une de ces lectures-chocs, un livre qui m'a profondément marqué au point que je n'attendais plus qu'une chose : le relire. C'est désormais chose faite et cette relecture confirme ma première impression : cet ouvrage est un véritable petit bijou, un roman d'anticipation destiné à la jeunesse mais que je recommande à tous : habitués de la dystopie comme novices en ce genre, amoureux de la nature comme adeptes des réflexions psychologiques, jeunes lecteurs comme grands dévoreurs de romans.

Le premier chapitre nous plonge directement dans l'ambiance du roman : nous faisons la connaissance d'Honor, une petite fille de dix ans qui vient d'emménager dans une petite maison proche du rivage de l'île 365, au coeur des Colonies. Lorsqu'Honor arrive dans sa nouvelle école, elle comprend rapidement – et nous aussi – qu'enfreindre les règles et les normes est dangereux et qu'il est primordial – pour ne pas dire vital – de se fondre dans la masse et de rentrer dans le moule. Contrairement à ses parents qui ne croient pas en la Mère Nourricière, qui refusent de se plier aux lois et qui violent régulièrement les interdits, Honor va tout mettre en oeuvre pour s'intégrer et devenir une écolière Modèle, une citoyenne Parfaite. Malheureusement, les choix de ses parents vont lui retomber douloureusement dessus et elle va progressivement être obligée de remettre en question toutes ses certitudes.

Vous l'aurez compris, nous nous situons bel et bien dans un cadre dystopique. Ici, la Compagnie se vante d'avoir offert Sécurité et Protection aux habitants des îles grâce à la construction de l'Enceinte, un dôme permettant de contrôler la météo et d'éviter tempêtes et tsunamis. La Nature est à la fois sacralisée et diabolisée : laissée à l'état sauvage, la nature est dangereuse et mortelle, mais contrôlée par la Compagnie, elle devient source de tous les bienfaits. La Mère Nourricière, initiatrice du mouvement, est vénérée telle une déesse et chaque enfant se doit de connaitre sur le bout des doigts professions de foi et manuels d'histoire. La Communauté est réglée comme une horloge, et les Félicitations que reçoivent les citoyens Modèles côtoient les terribles Sanctions infligées à ceux qui sont considérés comme des Imprévisibles, des dangers pour les autres habitants des îles.

Honor est une petite fille très attachante. Déstabilisée par ce nouveau déménagement, intimidée par ce mode de vie qu'elle ne connait pas, elle est avide de s'intégrer et d'être « comme les autres ». Elle est également effarée et effrayée par le comportement de ses parents, qui ne correspond absolument pas à ce qui lui est enseigné à l'école. Honor, c'est un peu l'enfant que nous avons tous été, l'enfant qui fait absolument tout pour correspondre au modèle que nous impose notre société. Ici, les choses sont poussées à l'extrême mais il n'y a pas besoin d'une grande réflexion pour faire un parallèle avec l'état actuel des choses : si tu es différent, si tu n'as pas les mêmes gouts que les autres, alors tu es anormal et alors tu es rejeté. Honor, c'est une petite fille à la fois très naïve et très forte, effrayée et très courageuse. Honor connait une véritable évolution au cours du roman, et c'est donc un personnage très intéressant à suivre.

Ce roman est très facile à lire, autant du point de vue du style que de celui de l'histoire. L'écriture, pour commencer, est fluide : les mots semblent couler de source, sans longueur, sans lourdeur, et c'est très poétique. L'auteur nous explique très simplement les choses, que ce soit les pensées des personnages ou des éclaircissements sur le monde dans lequel vit Honor. L'histoire, quant à elle, ne part pas des tous les sens : il y a une véritable ligne directrice, un fil rouge qui nous empêche de nous égarer. Nous vivons les choses telles qu'Honor les voit, nous n'avons jamais le point de vue d'un autre personnage mais cela n'est pas utile car nous en savons suffisamment. Il s'agit donc d'un livre très agréable à lire, une invitation à la réflexion mais qui ne prend pas la tête.

En bref, ce roman est une véritable perle, qui peut constituer une introduction à la dystopie pour un jeune lecteur mais qui peut être lu par tout le monde car chacun a quelque chose à tirer de ce livre. En effet, il ne se contente pas de décrire une organisation sociale dystopique, mais pose bien d'autres questions : celle de l'identité (qui suis-je par rapport aux autres ?), celle de l'intégration à un groupe aux normes spécifiques, celle du rapport à la nature … et j'en passe ! Il s'agit d'un roman jeunesse, certes, mais d'une profondeur qui n'a rien à envier à beaucoup d'autres récits de ce genre ! Je conseille donc vivement ce roman qui est un joli coup de coeur !
Lien : http://lesmotsetaientlivres...
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Après un cataclysme météorologique, le Déluge, une société totalitaire a été mise en place par "la Mère-Nourricière". Celle-ci a pour but de protéger la société, en domptant le climat, la planète... et les êtres.
Honor, avec sa famille, est contrainte de rejoindre l'île 365. Elle va devoir apprendre à vivre dans cette société où tout est planifié, va vouloir même se fondre dans la masse et être parfaite, quitte à oublier qui elle est, tous ses souvenirs "d'avant", avant de se révolter suivant en cela l'exemple de ses parents entre autres.
Ce roman va à l'essentiel, sobre mais bien évocateur d'un monde totalitaire. C'est la force de ce roman. Pas de descriptions approfondies de ce monde mais plutôt des petites touches qui petit à petit dresse un paysage effrayant de ce monde "idyllique". Pas d'aventures et de rebondissements trépidants, le récit évoluant lentement même si le rythme s'accélère dans la dernière partie, quand la libération se fait proche.
Une belle évocation d'un monde totalitaire, d'une quête d'identité et un questionnement sur notre rapport aux éléments naturels.
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Certains résumés ont le don de nous séduire et pour le livre, c'est ce qui s'est produit. Alors que je m'attendais à prendre connaissance avec une histoire fortement intéressante, c'est tout le contraire qui s'est produit. Dommage car je suis un fan de dystopie mais là, je ne sais pas quoi penser. Je ne ressens pas cette impression de perte de temps comme cela m'est déjà arrivé avec d'autres bouquins mais là, je reste dubitatif. Par contre, une chose est sûre, si j'avais choisi un autre livre à sa place, je ne l'aurais pas regretté. C'est dire quand même à quel point je suis un tantinet agacé. Bref, je ne vais pas m'attarder davantage à expliquer ce que je ressens, je passe de suite aux points négatifs et positifs et je pense que ces derniers vont vous aider à comprendre pourquoi je suis un peu sur les nerfs.
Points négatifs :
- L'ensemble est particulièrement mou mais ça, c'est peut-être parce que j'adore l'action et la violence. A partir du moment que je tiens entre mes mains, une histoire où il ne se passe pas grand-chose, forcément, je grimace.
- La fin qui, à mes yeux, ne l'est pas vraiment. J'aurais aimé savoir qui est cette fameuse Mère Nourricière dont l'auteur nous casse les oreilles depuis le début de son histoire mais non, cette question reste sans réponse.
- le seul rebondissement qui aurait pu attiser un semblant d'intérêt. Tout comme pour la Mère Nourricière, nous apprenons très vite qu'il existe un autre personnage de même importance puisqu'il est son ennemi principal : le météorologue. Nous apprenons son identité vers la fin et à ce moment, ouais, bof, je m'en fous un peu en fait. C'est sûrement à cause de la mollesse de l'histoire qui fait que ce rebondissement n'a rien provoqué en moi et c'est dommage.
- L'histoire en elle-même. Les idées étaient intéressantes mais mal exploitées. Là encore, c'est regrettable car je pense que l'auteur aurait pu nous pondre une histoire palpitante surtout avec les bases qu'elle détenait mais non, elle a préféré écrire ça.
- Enfin, au fur et à mesure que je tournais les pages, je n'étais pas animé par des émotions comme j'aime l'être. Là, j'avançais dans l'histoire et rien ne se produisait. Qu'est-ce que je déteste lire une histoire pour laquelle je ne ressens rien.
- La fin. Il se passe beaucoup d'action mais c'est tellement mal décrit que la déception est au rendez-vous.

Bref, un ensemble très mou sur lequel je tiens absolument à insister. Maintenant que la liste des points négatifs est dressée, je passe à celle des points positifs :
- le petit frère de Honor. Il est adorable ce gamin même si parfois, c'est une véritable tête à claque.
- Les retrouvailles de Honor avec certaines personnes dont je ne dirais rien afin de ne pas vous gâcher la surprise. Enfin, si on peut utiliser ce terme, bien sûr.
- Dernier point positif : la taille des chapitres. Certains sont longs, d'autres, plus courts mais je reconnais volontiers que j'ai aimé cette cadence.

En conclusion, vous ne perdez rien à ne pas connaître cette histoire sauf si vous aimez les trucs mous. Ce livre ne donne pas envie de dormir si vous êtes courageux mais si vous cherchez un assommoir, je pense que ce bouquin est fait pour vous.
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Je trouve que ce livre est prenant , l'histoire est bien écrite , mais j'ai remarqué un bémol assez ennuyeux : le livre est trop long à mon goût .
Je l'ai trouvé tellement long que je ne l'ai même pas fini : j'ai du arrêter ma lecture vers la page 125/environ 365 .
Je trouve que l'histoire se " traine " un peu ( elle est assez rapide au début mais plus lente vers la fin )

Si vous aimez la série " Lost " , alors vous allez aimer ce roman car il se rapproche pas mal de cette série, parfois on croirait même que c'est la même chose .
Je ne dis en aucun cas que je n'aime pas ce livre , qu'il ne faut pas l'acheter, qu'il est nul etc...
Je dis juste qu'il est bien dans son ensemble mais est trop long pour l'histoire que nous fait découvrir ce livre .
( Yanis )
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