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Quelle lecture éprouvante!
Il était une fois dans une île anglo-normande , trois enfants. Deux soeurs et un garçon, orphelin de mère, revenu vivre dans l'île avec son père médecin. Je vous présente Marianne et Marguerite le Patourel et William Ozanne. bientôt inséparables, telle une corde à trois brins. Si Marguerite et William sont des êtres solaires et lumineux, respirant la bonté , capables de donner sans rien attendre en retour, Marianne jeune femme disgracieuse physiquement, d'une grande intelligence, est une femme avide, arrogante , d'un égoïsme forcené prête à tout pour arriver à réaliser ses rêves, éternelle insatisfaite. Elle a jeté son dévolu sur William il le lui faut elle l'aura …
Le chemin de la vie va conduire William, puis Marianne en Nouvelle-Zélande , devenue depuis janvier 1840 un dominion britannique.
Elizabeth Goudge embarque son lecteur dans la vie de ces pionniers britanniques qui s'y sont implantés au grand damne des Maoris..
J'ai refermé ce roman fleuve avec une immense satisfaction, être arrivée au bout d'une lecture profondément ennuyeuse. Je suis surprise par la plume d'E Goudge, beaucoup de descriptions , beaucoup de longueurs sans grand intérêt, un rythme monotone entrecoupé cependant de superbes passages; une écriture un peu démodée, bien loin de la plume des écrivains du 19è . Il est vrai que je n'ai ressenti aucune empathie pour les héros de ce roman et éprouvé une antipathie immédiate pour Marianne. Seuls Tai Haruru , Nat, le capitaine O'Hara et Old Nick le perroquet sortent du lot.
Je m'abstiendrai de tout commentaire sur le prosélytisme religieux omniprésent.
Je ne serai certainement pas arrivée au bout de cette lecture si je n'avais pas été motivée par une L.C , merci à mes 3 compères.
Critique de sylvaine
Quelle lecture éprouvante!
Il était une fois dans une île anglo-normande , trois enfants. Deux soeurs et un garçon, orphelin de mère, revenu vivre dans l'île avec son père médecin. Je vous présente Marianne et Marguerite le Patourel et William Ozanne. bientôt inséparables, telle une corde à trois brins. Si Marguerite et William sont des êtres solaires et lumineux, respirant la bonté , capables de donner sans rien attendre en retour, Marianne jeune femme disgracieuse physiquement, d'une grande intelligence, est une femme avide, arrogante , d'un égoïsme forcené prête à tout pour arriver à réaliser ses rêves, éternelle insatisfaite. Elle a jeté son dévolu sur William il le lui faut elle l'aura …
Le chemin de la vie va conduire William, puis Marianne en Nouvelle-Zélande , devenue depuis janvier 1840 un dominion britannique.
Elizabeth Goudge embarque son lecteur dans la vie de ces pionniers britanniques qui s'y sont implantés au grand damne des Maoris..
J'ai refermé ce roman fleuve avec une immense satisfaction, être arrivée au bout d'une lecture profondément ennuyeuse. Je suis surprise par la plume d'E Goudge, beaucoup de descriptions , beaucoup de longueurs sans grand intérêt, un rythme monotone entrecoupé cependant de superbes passages; une écriture un peu démodée, bien loin de la plume des écrivains du 19è . Il est vrai que je n'ai ressenti aucune empathie pour les héros de ce roman et éprouvé une antipathie immédiate pour Marianne. Seuls Tai Haruru , Nat, le capitaine O'Hara et Old Nick le perroquet sortent du lot.
Je m'abstiendrai de tout commentaire sur le prosélytisme religieux omniprésent.
Je ne serai certainement pas arrivée au bout de cette lecture si je n'avais pas été motivée par une L.C , merci à mes 3 compères.
