Je termine la trilogie de la BÊTE. Une incursion dans le monde de l'itinérance, de la maladie mentale, de l'incarcération, des écorchés vifs. On est dans le réel et l'imaginaire d'un fils à la recherche de sa mère, à la recherche de l'amour. Un amour qui berce, qui console, qui partage, qui prend soin. Une recherche violente. L'auteur nous raconte, sans filtres mais avec un humour fin. J'ai été touchée, avec violence, tendresse et compassion. Merci
David Goudreault.
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