Ce troisième opus a les mêmes qualités et défauts que ses deux prédécesseurs.
Le cadre historique est très bien rendu.
Ann Granger met toujours en avant un aspect de la vie quotidienne britannique à l'époque victorienne. Ici, c'est le fameux smog qui donne à ce roman son ambiance particulière.
Encore une fois, la faiblesse réside dans l'enquête policière. Celle-ci est basée sur des hasards quelque peu crédibles... et la conclusion est très prévisible.
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