Très bon roman sur les passions tristes.
Ici l'avarice qui étouffe, musèle, asphyxie jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Aussi beau qu'Eugénie Grandet, et bien plus tragique, avec une belle écriture classique et simple.
C'est un livre difficile à lâcher.
Je l'ai encore préféré à "
Chaque homme dans sa nuit" qui pourtant m'avait enthousiasmée. Une unité encore plus resserrée sur des héroïnes qui se débattent dans leur nuit.
Avec
Julien Green il est toujours question de ténèbres intimes et de destin.
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