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Critique de Marlpaulie
Je ne crois pas avoir tellement apprécié ce livre, je m'interroge encore en ayant fermé la dernière page.
Ne mettrais que quelques phrases glanées de ci de là sans grande conviction.
(p.251)
Tu es un nous. Tu es un tu. Tu es en elle, un ce, un ils. Mon royaume pour un je.
(p.163)
"La question n'est pas encore tranchée : savoir si la folie est ou n'est pas la plus haute forme d'intelligence".
(p. 298)
J'ai essayé de me convaincre qu'avoir des pensées n'était pas dangereux que penser n'était pas agir, que les pensées ne sont que des pensées.
(p. 140)
Moi aussi, j'étais incapable de réfléchir normalement, incapable même de finir de formuler une pensée parce qu'elles ne venaient pas les unes derrière les autres mais en boucles pleines de noeuds qui s'enroulaient sur elles-mêmes, ou bien qu'elles étaient des sables mouvants dans lesquels je m'enfonçais, des trous de ver qui avalaient la lumière.
Et pour terminer cette citation :
"L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut".
Arthur Schopenhauer.
Ne mettrais que quelques phrases glanées de ci de là sans grande conviction.
(p.251)
Tu es un nous. Tu es un tu. Tu es en elle, un ce, un ils. Mon royaume pour un je.
(p.163)
"La question n'est pas encore tranchée : savoir si la folie est ou n'est pas la plus haute forme d'intelligence".
(p. 298)
J'ai essayé de me convaincre qu'avoir des pensées n'était pas dangereux que penser n'était pas agir, que les pensées ne sont que des pensées.
(p. 140)
Moi aussi, j'étais incapable de réfléchir normalement, incapable même de finir de formuler une pensée parce qu'elles ne venaient pas les unes derrière les autres mais en boucles pleines de noeuds qui s'enroulaient sur elles-mêmes, ou bien qu'elles étaient des sables mouvants dans lesquels je m'enfonçais, des trous de ver qui avalaient la lumière.
Et pour terminer cette citation :
"L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut".
Arthur Schopenhauer.
