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Critique de Tandarica


J'ai choisi ce livre pour les illustrations de Gwen Keraval dont j'ai découvert l'univers graphique avec « Le rêve d'étain » du truculent Radu Bata. Ici, toutefois, son trait de crayon et la coloration sont plus « soft » si je puis dire, plus conventionnels.
Comme point de départ, Yves Grevet n'hésite pas à s'attaquer à la pauvreté des parents qui empêche l'un des cinq enfants (Cédric Dupain) de la bande de partir en colonie de vacances. La phrase du narrateur sonne très... « juste » et démontre la maturité de son personnage : « quand tu as juste de quoi manger et payer ton loyer, tout est trop cher ».
Qui sont les membres de « l'organisation secrète », « unis comme les Mousquetaires de Dumas » ? Cédric, alias Costos, Saïd alias Intellos, Albert alias Coolos, Oumar alias Beaugos et le narrateur Paul qui s'appela finalement Chépois (de « Ch'ai pas » !).
Quel est le mot dont use et abuse le directeur de la colo, monsieur Alain Pécable ? « Impeccable », bien sûr.
J'ai trouve l'histoire très originale et la chute merveilleuse. C'était l'époque où les enfants écrivaient encore des lettres !
J'ai aussi apprécié les petits mots de présentation des auteurs à la fin où ils se souviennent avoir vécu des situations similaires pendant leur enfance.
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