Le manipulateur
C'est drôle ! Quand
Grisham écrit ses livres sans assistance (ou si peu) on retrouve un immense plaisir à le suivre. Ce roman-là est une parfaite synthèse de l'érudition juridique et du sens du romanesque.
La narration est un tant soit peu trahie à la fois par la longueur du roman et par le titre français qui font qu'on imagine après la page 200 que tout ça n'est pas très catholique. Et même si l'auteur juge nécessaire d'enfoncer les points sur les « i » au dernier chapitre au cas où… On aime se faire balader dans cette intrigue voluptueuse.
Quand c'est bien il faut le dire.
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