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Critique de Melou13
Jacob est en maison de repos, il attend la visite de sa famille pour se rendre au cirque installé sur le parking d'en face. Son histoire ressurgit dans sa mémoire et il partage avec nous les souvenirs de ses débuts dans le milieu du cirque.
Je vais commencer par le point faible de ce roman qui est pour moi l'écriture. Je n'ai pas vraiment aimé le style, l'écriture manque de fluidité et certains passages sont mieux écrits que d'autres.
Cependant, le sujet du cirque fait tout le charme et l'originalité de ce roman.
Sara Gruen s'est bien documentée sur le sujet et réussit à nous embarquer à bord du train pour un voyage de ville en ville en compagnie de personnages et d'animaux attachants. Les photos qui viennent agrémenter les chapitres et les anecdotes tirées de faits réels, donnent l'impression qu'il ne s'agit pas d'un roman mais bel et bien de la vie de Jacob. D'autant plus que l'atmosphère des années 30 alors que la crise économique bat son plein plante le décor de ce roman.
On assiste à la dureté de la vie durant cette période et aux inégalités qui y règnent.
De l'eau pour les éléphants, nous ouvre les coulisses du cirque et nous montre l'envers du décor. La misère qui y règne, l'exploitation des hommes et des animaux sont bien loin des strass et des paillettes. Certains passages sont durs notamment ceux qui abordent la maltraitance des animaux. Je me suis indignée devant des personnages comme August ou l'oncle al qui n'hésitent pas à recourir à la violence et qui sont dépourvus de toute humanité.
Malgré la noirceur de ce milieu, l'amour, l'amitié et l'entraide permettent de garder espoir. Porter par ses différents points, Jacob va évoluer au fur et à mesure de l'histoire. Il va abandonner sa lâcheté et son manque de confiance en lui, pour s'affirmer et protéger les gens qu'il aime.
Je vais commencer par le point faible de ce roman qui est pour moi l'écriture. Je n'ai pas vraiment aimé le style, l'écriture manque de fluidité et certains passages sont mieux écrits que d'autres.
Cependant, le sujet du cirque fait tout le charme et l'originalité de ce roman.
Sara Gruen s'est bien documentée sur le sujet et réussit à nous embarquer à bord du train pour un voyage de ville en ville en compagnie de personnages et d'animaux attachants. Les photos qui viennent agrémenter les chapitres et les anecdotes tirées de faits réels, donnent l'impression qu'il ne s'agit pas d'un roman mais bel et bien de la vie de Jacob. D'autant plus que l'atmosphère des années 30 alors que la crise économique bat son plein plante le décor de ce roman.
On assiste à la dureté de la vie durant cette période et aux inégalités qui y règnent.
De l'eau pour les éléphants, nous ouvre les coulisses du cirque et nous montre l'envers du décor. La misère qui y règne, l'exploitation des hommes et des animaux sont bien loin des strass et des paillettes. Certains passages sont durs notamment ceux qui abordent la maltraitance des animaux. Je me suis indignée devant des personnages comme August ou l'oncle al qui n'hésitent pas à recourir à la violence et qui sont dépourvus de toute humanité.
Malgré la noirceur de ce milieu, l'amour, l'amitié et l'entraide permettent de garder espoir. Porter par ses différents points, Jacob va évoluer au fur et à mesure de l'histoire. Il va abandonner sa lâcheté et son manque de confiance en lui, pour s'affirmer et protéger les gens qu'il aime.
