Ce n’est que si j’ai de la bienveillance envers moi-même
que l’autre pourra se sentir bien auprès de moi.
Trop souvent, nous n’aimons que l’image que nous avons de nous-mêmes.
Nous ne nous aimons pas vraiment.
La voix de l’inconscient est plus forte que celle de la volonté.
C’est dans la détresse qu’on reconnaît l’ami véritable,
dans les temps de vache maigre, de traversées du désert.