Dans cette novella on fait connaissance avec une petite dizaine de femmes cinquantenaires, re-unies par leur passé commun dans un internat religieux en 1954.
L'une d'entre elles, ayant découvert qu'une photo de groupe d'elles quand elles avaient 12 ans à changé de façon bien étrange, reprend contact avec les autres...
Une histoire qui débute comme un thriller « sous tension », avec une présentation de chaque protagoniste se souvenant d'une anecdote de sa jeunesse dans le pensionnat...
... et qui se conclut par un crépuscule de violence et de pure horreur fantastique.
Même si la nouvelle «
La petite fille aux araignées » restera (jusqu'à maintenant) ma préférée de
Gudule, j'ai presque tout autant apprécié ce récit narrant une vengeance machiavélique.
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