>
Critique de Aderu
Merci aux éditions Hachette et à Babelio pour cette Masse Critique.
Bon, clairement pas un coup de coeur.
J'ai eu du mal à aller au bout, bien peu captivé par l'histoire - malgré un relatif regain d'intérêt au début du dernier tiers.
La narration alternée entre le "présent" et le centenaire du dieu est plutôt plaisante. Ce dernier point étant l'une des sympathiques idées du texte.
Mais alors ces aventures sur des îles indéterminées du Pacifique, avec l'académie de magie d'un côté, la secte de l'autre, ne remportèrent pas mon adhésion...
La magie touche une partie du monde seulement, le reste du monde n'est pas au courant, mais la police et les journalistes enquêtent quand même sur la secte qui pourtant se trouve sur une île introuvable hors magie...
La grande maison où vivent tous les divinités n'est pas une idée qui me parle. C'est un peu léger.
J'ai trouvé les échanges assez naïfs. La violence fera sûrement ressortir ce livre du reste de la production young adult, de même que la volonté de l'autrice de placer la question du deuil au centre de son histoire, sans l'édulcorer. La déclaration d'intention était intéressante. le résultat de mon point de vue un peu moins.
Comme je l'ai lu dans une autre critique, le livre trouvera sans problème son public. Mais sans moi.
Je passe mon tour pour la suite !
Bon, clairement pas un coup de coeur.
J'ai eu du mal à aller au bout, bien peu captivé par l'histoire - malgré un relatif regain d'intérêt au début du dernier tiers.
La narration alternée entre le "présent" et le centenaire du dieu est plutôt plaisante. Ce dernier point étant l'une des sympathiques idées du texte.
Mais alors ces aventures sur des îles indéterminées du Pacifique, avec l'académie de magie d'un côté, la secte de l'autre, ne remportèrent pas mon adhésion...
La magie touche une partie du monde seulement, le reste du monde n'est pas au courant, mais la police et les journalistes enquêtent quand même sur la secte qui pourtant se trouve sur une île introuvable hors magie...
La grande maison où vivent tous les divinités n'est pas une idée qui me parle. C'est un peu léger.
J'ai trouvé les échanges assez naïfs. La violence fera sûrement ressortir ce livre du reste de la production young adult, de même que la volonté de l'autrice de placer la question du deuil au centre de son histoire, sans l'édulcorer. La déclaration d'intention était intéressante. le résultat de mon point de vue un peu moins.
Comme je l'ai lu dans une autre critique, le livre trouvera sans problème son public. Mais sans moi.
Je passe mon tour pour la suite !
