Le tribut des Dieux, tome 1 : Octavia

L'héroïne du premier tome de ce roman fantastique se prénomme Octavia, elle est élève à l'Académie de Magie où rivalisent de jeunes magiciens. Traumatisée par la mort brutale de sa famille, elle tente tout pour qu'ils retrouvent la vie.
Cette histoire fantastique mêle la vie des mortels et celle des dieux qui leur ressemble beaucoup. On y trouve un Panthéon assez foutraque où règnent des dieux de diverses origines, ceux de la mythologie grecque en passant par les dieux slaves, égyptiens et aztèques. L'histoire des dieux, élus pour cent ans, alterne avec celle des magiciens qui rêvent d'être les héritiers d'un des dieux pour accéder au panthéon. le combat est ardu entre les élèves rivaux.
Octavia, qui a pour mission le sauvetage d'une fillette, va entraîner ses amis à la recherche d'un magicien qui vit sur une île et se fait appeler le Clairvoyant par ses disciples. Elle va découvrir la puissance de la manipulation d'une secte.
« Octavia se rendait compte qu'il réussissait à la manipuler et à obtenir petit à petit des petits bouts de vérité »
L'intrigue, tissée de mensonges, manipulations et rites magiques, est assez fouillis. Beaucoup d'hémoglobine et d'actes de cruauté, est-ce vraiment nécessaire ? J'ai eu l'impression que l'autrice a masqué son absence de créativité avec du sang et des effets de manche. Mais n'est pas magicien qui veut ! En tout cas, il n'y a aucune magie dans cette écriture convenue.
L'idée d'une héroïne loin d'être parfaite, qui n'a pas froid aux yeux, assume ses défauts et n'hésite pas à mentir si nécessaire avait tout pour plaire. Hélas ! Malgré son caractère bien trempé, un tantinet agressif et violent, Octavia a du mal à nous convaincre tant ses actes sont excessifs et elle m'a déçue par son manque d'empathie.
Les autres personnages sont à l'avenant et aucun ne m'a vraiment touchée, à part peut-être Clémence.
Cette histoire alambiquée n'éveille aucune émotion et je me suis ennuyée à la lecture.
Les dialogues, nombreux, donnent du rythme au récit. Néanmoins, j'ai trouvé le style emprunté et sans aucune subtilité.
Malgré sa couverture colorée au graphisme soigné, ce premier roman est une déception pour moi mais sans doute trouvera-t-il son lectorat.
Je remercie Babelio et les éditions Hachette pur cette lecture

Pour un premier roman je dois dire qu'il est réussi ! Il puise dans la Mythologie pour ces Dieux mais ils sont choisis pour 100 ans uniquement et reviennent sur Terre pour finir leur vie. Une certaine partie de la population a des pouvoirs magiques. Les jeunes magiciens vont dans un Académie pour approfondir leurs connaissances et choisir à quel Panthéon ils appartiendront par quel Dieu ils aimeraient être choisi. La magie n'est pas héréditaire et ce sont les Dieux en fin de “mission” qui choisissent leur héritier !

Dans ce premier tome l'histoire est axée sur Octavia et ceux qui l'entourent : Théodore, Clémence et Aleksei. Octavia ne souhaite qu'une chose de la magie, faire ressusciter sa famille disparue dans un incendie. Quand le Dieu Maya du sacrifice humain lui propose un marché, elle accepte ! Une quête qui va les mener sur une île à la rencontre de ce qui va s'avérer être une secte de magiciens.

Je me suis laissé prendre par l'histoire et les personnages et la magie a fonctionné jusqu'à la fin du tome ! Quand j'apprécie une lecture dès le début, je suis plus laxiste sur les défauts qui pourraient s'y trouver ! Tant que la forme et le fond fonctionnent, le reste importe peu !

En guide d'amuse-gueule, l'auteure a mis le début du tome 2, que j'aurais bien lu sur ma lancée ! Malgré la couverture qui indique une lecture jeunesse, ce n'est pas le cas : la violence et les comportements déviants (ne cherchez pas la petite bête) sont très présents !!

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On suit le parcours du dieu Khors qui vient d'entamer son cursus de cent ans parmi les dieux, espérant au passage changer quelques lois, notamment celle de la durée de vie limitée des dieux (cent ans) pour leur conférer l'immortalité, leur évitant ainsi de choisir leur remplaçant et retourner à l'académie de magie.

En parallèle, à l'Académie de magie, Octavia fait son entrée après un drame familial : un incendie a détruit sa maison, ses mères, et son frère. Elle est la seule survivante mais à quel prix ? Sa soif de vengeance la conduit à choisir la magie du sang, sous la « protection » du dieu Buluc Chabtan qui va lui « promettre » de venger la mort de sa famille par le biais d'un pacte, au cours d'un rituel : tuer le gourou d'une secte qui veut accéder à l'immortalité.

Pour cette mission, Octavia sera accompagnée de Théodore, Alekseï et Clémence, la propre fille de la directrice de l'Académie. Mais tout n'est pas aussi simple qu'on ne pouvait l'imaginer. Octavia risque une grave désillusion en tentant de découvrir ce qu'il s'est réellement passé cette nuit-là, comme Icare, elle risque de se brûler les ailes en se rapprochant de la vérité.

Au départ, on comprend la souffrance d'Octavia, son incapacité à faire son deuil, sa culpabilité d'avoir été la seule survivante. Mais sa violence, ses mensonges en permanence pour rallier les autres à sa cause ne contribuent pas à la rendre sympathique. La fin justifie rarement les moyens. Cependant, est-ce que tenter de les ressusciter à tout prix peut être la bonne solution ? surtout en tuant un inconnu ? Certains méritent-ils de mourir plus que d'autres ?

Cette lecture, qui constitue une de mes rarissimes incursions dans le domaine, de la magie, de la Fantasy, m'a apporté un dépaysement complet, mais la violence de certaines scènes risque de hanter ma mémoire. L'auteure propose au passage une réflexion sur la colère et ses conséquences néfastes, sur le désir d'immortalité, sous-entendu de l'éternelle jeunesse qui anime certains milliardaires, (notamment côté USA), pacte faustien, et les dérives sectaires où les gourous s'autoproclament des dieux…

En même temps, Bleuenn Guillou nous emmène dans un voyage dans le temps, car au fur et à mesure que l'on avance dans l'histoire, on traverse les deux guerres mondiales, alors qu'on a, au début, l'impression d'être hors du temps …

S'en remettre aux dieux, à une instance supérieure, pour maintenir la paix, tenir les humains, ou leur laisser leur libre arbitre et prendre leur destin en mains ? La question est toujours d'actualité…

J'ai aimé me promener dans cet univers, retrouver des dieux connus ou non, gaulois, romains et tant d'autres, ainsi que la réflexion philosophique de l'auteure. J'ai apprécié certains rituels, et en sortant de ma zone de confort, j'ai pu avoir accès au dépaysement auquel j'aspire depuis quelques temps ; cependant, malgré l'attrait de la nouveauté, je ne suis pas sûre, du moins pour l'instant, d'avoir envie de poursuivre dans ce genre de littérature…

C'est le premier tome d'une saga, et l'auteure propose à la fin de livre les deux premiers chapitres du second tome, ce qui peut ouvrir la porte à la tentation, je le reconnais.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Hachette Romans qui m'ont permis de découvrir ce roman et son auteure.

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« le Tribut des Dieux » est un beau roman issu la littérature de l'Imaginaire qui nous offre un voyage semé d'embûches au pays des Dieux. On apprend au début du roman que les dieux ne sont pas immortels, ils vivent seulement une centaine d'année, là-haut dans les cieux, regardant d'un oeil détaché ces pauvres humains que nous sommes, nous entretuer régulièrement. Au bout de cent ans, ils se choisissent un héritier choisi parmi les magiciens et tandis que leur héritier prend leur place, ils retrouvent une vie de mortel.

Olivia est une magicienne et elle vient de rejoindre l'Académie où elle va pouvoir choisir le dieu qui lui donnera et développera ses dons. Son ami Théodore est ravi de la retrouver mais il constate très rapidement qu'Olivia est dévorée par la haine et la souffrance. Quelques mois auparavant, son frère et ses deux mères sont mortes dans un incendie et Olivia est prête à tout pour leur redonner vie, d'où son allégeance au dieu Buluc Chabtan. Ils passent un pacte : elle doit tuer un homme pour faire renaître sa famille. Buluc Chabatan l'oblige aussi à emmener trois autres magiciens avec elle -Clémence, Théodore et Alekseï. Tous quatre s'embarquent dans une aventure dangereuse.

Ce n'est pas de tout repos que d'être un dieu dans ce roman, on s'imagine que dans le royaume des cieux, la vie est un long fleuve tranquille, mais non, ce n'est que complots, luttes de pouvoir et meurtres mêmes. Et en bas, pour l'équipe d'Olivia, c'est pire : ils se retrouvent sur une île dirigée par un magicien mégalo qui dirige ses adeptes comme le ferait un gourou avec une secte. Ce chef est difficile à approcher mais Olivia est prête à tout pour réussir à l'abattre. Sa haine et son désespoir l'aveuglent tant qu'elle commet bien des erreurs, et surtout celle d'avoir cru Buluc Chabtan. le roman se lit avec beaucoup de facilité, il donne la parole à plusieurs protagonistes nous donnant ainsi plusieurs points de vue nous permettant de comprendre la tragédie qui se dessine. Il n'est pas facile d'apprécier Olivia : on peut comprendre son chagrin mais son entêtement, son aveuglement et son égoïsme sont, par moment, difficiles à admettre. La fin est ouverte, d'ailleurs on trouve un extrait de la suite. Hâte de le lire.

Challenge Multi-défis 2022
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Je viens de lire l'avis sur "Le Tribut des Dieux T1 : Octavia" de Bleuenn Guillou et je dois dire que j'ai été captivée par cette histoire de fantasy épique. le roman suit l'histoire d'Octavia, une jeune fille qui vit dans un monde où les dieux imposent un tribut cruel aux humains. Octavia, qui possède des pouvoirs magiques, est contrainte de fuir pour sauver sa vie.

J'ai aimé l'univers créé par l'auteur, avec ses dieux puissants et ses humains opprimés. Les personnages sont très bien développés, notamment Octavia qui est une héroïne forte et courageuse, mais aussi très vulnérable. J'ai apprécié le fait que le roman aborde des thèmes importants, tels que l'oppression, la résilience et la solidarité.

De plus, l'intrigue est très bien construite, avec des rebondissements inattendus qui maintiennent le lecteur en haleine jusqu'à la fin. L'écriture de Bleuenn Guillou est fluide et immersive, ce qui permet de s'immerger complètement dans l'univers du roman.

Enfin, j'ai apprécié le fait que ce premier tome laisse présager de nombreux rebondissements pour la suite de l'histoire, ce qui donne envie de découvrir la suite des aventures d'Octavia.

En conclusion, je recommande vivement "Le Tribut des Dieux T1 : Octavia" à tous les amateurs de fantasy épique, avec des personnages forts et une intrigue captivante. C'est un premier tome réussi qui promet une suite palpitante.

Mon avis détaillé :

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Les dieux ne sont pas immortels. Tous les cent ans, ils choisissent un héritier parmi les magiciens qui prendra leur place. Mais les magiciens ne le savent pas. Octavia a perdu toute sa famille dans un incendie et fait sa rentrée à l'Académie. Mais elle est bien déterminée à trouver le moyen de ramener ses proches à la vie. A n'importe quel prix.
Je n'ai pas du tout aimé Octavia, obsédée par sa quête au point de trahir tout le monde et surtout ses amis. Elle est incapable de réfléchir aux conséquences de ses actes et refuse même d'envisager la possibilité d'être manipulée. J'ai attendu tout le livre qu'elle le comprenne avant qu'il soit trop tard, mais çà n'arrive jamais. Théodore est un ami fidèle, mais j'ai trouvé le personnage un peu insipide, comme Clémence, qui de son côté subit un twist final peu crédible. J'ai du mal à croire qu'on puisse autant changer et se sentir trahi par quelqu'un qu'on connait à peine. Aleksei est un peu plus remarquable et son histoire apporte un peu d'intérêt au roman. Mais il n'apporte pas grand-chose à l'intrigue principale et ne fait que suivre les événements avec suspicion.
Côté intrigue, les bases de l'univers proposé par le livre sont vraiment géniales et c'est son point fort. Pourtant, l'intrigue s'étire en longueur et exploite plutôt mal son potentiel. J'ai donc trouvé le temps long, particulièrement quand les personnages sont sur l'île, ce qui couvre la quasi-totalité du roman, après un début pourtant prometteur qui portait sa part de mystère. L'épilogue est aussi intéressant avec les conséquences qu'il dévoile, mais le cheminement pour y parvenir aurait mérité mieux.
Bref, j'ai trouvé le temps un peu long et n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, la fin laisse pourtant un petit goût de reviens-y, ne serait-ce que pour voir comment tout cela va être exploiter.

Panthéons.

Les dieux ne sont pas immortels. Tous les cents ans ils choisissent un héritier pour leur succéder. Mais les dieux sont divisés sur ce point. Certains voudraient l'immortalité.
Une simple mortelle, Octavia, est effondrée après la perte de ses deux mères et de son frère Anatole. Pour les faire revenir elle passe un pacte avec le dieu maya du sacrifice humain et de la guerre. Mais peut-on faire confiance à un dieu ?

C'est un très bon divertissement. Bleuenn Guillou a créé un univers où tous les panthéons existent et sont rattachés a un type de magie. Par exemple, le panthéon maya est rattaché à la magie du sang. Ainsi un dieu rattaché à un panthéon donne une parcelle de magie à un humain qu'il a choisi au préalable. Je trouve ce système de magie créatif et très intéressant.

Octavia est prête à tout pour faire revenir sa famille. C'est pourquoi elle passe un marché avec le dieu qui l'a appelée, Buluc Chabtan. Si elle tue un homme, il lui rendra ses proches. J'ai bien aimé l'écriture de ce personnage. Octavia n'est pas une Mary-Sue. C'est tout l'inverse. Enfermée dans sa souffrance, elle n'hésite pas à mentir et à manipuler ses proches pour arriver à ses fins. Ni à malmener physiquement et mentalement ceux qui s'opposent à elle.

En parallèle, nous suivons un humain devenu un dieu durant son centenaire. le monde des dieux est très loin d'être idyllique. Tout n'est que complots et manigances politiques. Les dieux ne sont au final que des humains améliorés.

J'ai toutefois regretté que l'auteure ne s'attarde pas sur le world-building. En effet, son univers aurais gagné à être plus exploité (les différentes magies, l'Académie de magie...). J'ai également relevé quelques clichés typiques de la littérature "young adult". Néanmoins, il s'agit du premier roman de l'auteure et tout le reste se tient. La lecture reste très agréable malgré tout.

En bref, une agréable découverte. Je lirais le tome 2 avec plaisir.

Je remercie Babelio et les éditions Hachette pour l'envoi de ce roman.

MASSE CRITIQUE PRIVILÉGIÉE

Un roman dystopique où les dieux des diverses mythologie existantes cohabitent dans un monde parallèle au nôtre et observent les humains. Contrairement à la pensée collective, ces dieux et déesses ne sont pas immortels. Tous les 100 ans, un Dieu/Déesse doit choisir un héritier parmi les humains magiciens du monde. Et le Dieu/Déesse qui a terminé son règne retourne finir sa vie parmi les humains.
L'idée est assez originale et très vite je me suis dit que j'allais améliorer ma culture sur la mythologie grâce à cette fiction.
En fait, non. C'est même assez confus.
L'histoire des dieux/déesses restent accès sur leur relation dans leur monde, vivant de conflits plutôt superficiels et passant surtout pour des êtres sans grand intérêt.
Quant aux humains intégrés à l'histoire, les apprentis-magiciens, sont évidemment des adolescents avec leur psychologie borderline. Ce qui en soit n'est pas gênant, ce roman leur étant destiné.
Alors que je trouvais le sujet intéressant, l'exploitation est une déception. L'autrice a surtout voulu développer ses personnages avec une majorité LBGT+. Mais pourtant aucun n'a trouvé grâce à mes yeux. L'univers est très peu décrit.
Et l'écriture, le style de l'autrice, ne m'a pas convaincu. (J'ai même pensé que c'était une traduction par la qualité de l'écriture que je n'ai pas apprécié)
Une fois l'univers posé, les thèmes abordés sont l'embrigadement dans les sectes, le deuil, l'immortalité.... avec un final sur fond d'hémoglobine. En d'autres termes, ne cherchez pas la dimension philosophique.
Un roman qui, si sa couverture est attirante, m'a déçu par son histoire dont l'idée au départ me semblait originale, mais qui au final a manqué d'intérêt.

Merci à Babelio et les Editions Hachette pour ce roman dans le cadre de l'opération masse critique.

Un monde fantastique très accrocheur : Octavia sort de l'hôpital après de graves brûlures. Ses deux mères et son frère sont décédés dans l'incendie. Blessée physiquement mais aussi moralement, la jeune fille retrouve son meilleur ami Théodore et ils rejoignent l'Académie, leur école, formant des magiciens.
Octavia y choisit la magie du sang, magie dangereuse, qu'elle espère assez puissante pour redonner vie à sa famille.
Motivée par l'amour mais aussi la haine, c'est tout une intrigue politique au sein même du mont Olympe qu'Octavia et Théodore vont découvrir.
Un récit plein de rebondissements, de suspens et d'action (une scène est particulièrement sanglante, attention!) qui se laisse dévorer!

#NetGalleyFrance
#ChallengeNetGalley2022

Ce roman m'a surprise, étonnée, à tel point que lorsque le soir où j'ai commencé ma lecture, je n'ai pu lâcher le livre qu'à quatre heures du matin, heure où je l'ai terminée.
Un page-turner !
En plus, j'ai eu le bonheur de pouvoir dire à l'autrice combien j'avais aimé son roman, lors du Salon entre les Mondes à Aurillac.
On suit une jeune fille nommée Octavia qui, après l'incendie de sa maison, pendant lequel elle a perdu ses deux mères et son frère, se retrouve à entrer dans une académie de magie afin de pouvoir ressusciter sa famille. Pour cela, avec deux amis, elle fait appel à un dieu, mais pas le plus compatissant : le dieu Maya du sacrifice humain !
Etonnamment, on prend parti pour Octavia, qui ne recule devant rien pour arriver à ses fins. On découvre ce monde étonnant, celui du panthéon des dieux, de tous les dieux et déesses de toutes les mythologies, chacun élu pour cent ans. Ensuite, leur sort est de revenir de simples humains...
Un roman sur le deuil, sur l'acceptation du deuil, et sur les sectes, mais abordé de manière si originale, inattendue, et délibérément intéressante, avec une double, voire triple narration. Octavia est attachante, les autres personnages qui gravitent autour d'elle le sont aussi. avec leurs défauts et leurs qualités.
Et dans toute cette intrigue, il y a du suspense, un mystère dont le lecteur veut absolument connaitre les tenants et aboutissants. Et il y parvient, très tard dans la nuit !
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