Pedro Juan Gutierrez, c'est le Cuba de la période spéciale... Des pénuries alimentaires... On ne mange pas beaucoup... On vit d'expédients... Les cavaleuses chassent le touriste... pendant ce temps, l'auteur essaie de survivre... Entre le mauvais rhum, les parties de baise interminables, les immeubles vétustes surpeuplés, les plans foireux pour trouver à manger... le cul des métisses et les queues gigantesques...
C'est jubilatoire... Un
Bukowski tropical, mais en mieux que l'original.
Commenter  J’apprécie         30