Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, tome 4 : Cauchemar à la scierie

Bien, les idées se suivent mais il est vrai que l'histoire en elle même s'essouffle déjà ... Toujours en fuite les enfants trouvent toujours une issue, puis retombent sur Olaf etc ... Dommage car c'était pour l'instant un bon début, malgré cela

J'aime toujours cette série, c'est un fait. Mais je commence à me lasser du point de vue de la trame de l'histoire, j'attends un petit renouveau dans les suivants, espérons ne pas être déçue :)

Il s'agit du tome que j'ai le moins aimé. Celui où les orphelins sont les plus tristes, je trouve. C'est peut-être aussi dû au fait que je suis un peu phobique du monde des usines dans les romans ou dans les films. .. Je ne saurais pas l'expliquer, une usine dans une intrigue me fait l'effet d'un film d'horreur. Je me dis toujours que quelqu'un va perdre un bras ou une jambe...

Cette fois, c'est dans un petit village perdu au milieu de rien, que les Baudelaire se retrouve. Leur nouveau tuteur, le patron de la scierie, se moque bien d'eux et les obligent à travailler dans celle-ci. Mais plus le temps avance plus les indices montrant la présence du comte se font voir, mais où est il ?

J'ai pris un réel plaisir et j'ai ressenti un grand bonheur à la lecture de la suite des aventures du trio hors-pair des Orphelins Baudelaire. Cette lecture m'a rappelée mon enfance et la joie que me procurait la lecture d'une des oeuvres de Daniel Handler.

J'ai adoré retrouver nos trois malchanceux amis, qui une fois encore se sont révélés courageux, unis et rusés.
Il ont du faire face à une difficulté supplémentaire puisque cette fois Klaus et Violette sont sortis des sentiers battus en faisant leurs preuves dans des domaines qu'ils ne maîtrisaient pas à la perfection. En effet, pour faire face à un danger imminent, ils n'ont pas eu d'autres choix que "d'inverser leurs facultés". Ainsi Klaus a usé de l'esprit d'invention prédestiné en temps normal à Violette et cette dernière a fait appel à ses connaissances et à sa mémoire alors qu'il s'agit du rôle de Klaus d'habitude.
J'ai beaucoup aimé que l'auteur ai choisit de faire cela. En effet, cela a permis de rendre les personnages plus polyvalents et de ne pas les classer dans des catégories spécifiques. Cela ajoute ainsi une autre dimension au récit et permet au jeune lecteur, puisque cette oeuvre est conseillée à la jeunesse, de s'interroger sur les différentes facettes du caractère des personnages. Cela serait un bon point que la personnalité des personnages soit encore plus développée dans les futurs tomes.

J'ai beaucoup apprécié découvrir la suite de ces aventures rocambolesques. C'est avec joie que je poursuivrai ces péripéties qui sont tout aussi surprenantes et captivantes que dans mon souvenir.

Ce n'est pas mon préférer mais la série continue très bien !

Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, tome 4, Cauchemar à la scierie de Lemony Snicket, Nathan
Où l'on retrouve les fameux orphelins (Violette l'inventrice, Klaus le grand lecteur et Prunille alias Requin dans James Bond pour le côté "je mets tout ce qui passe sous ma dent", pas pour le côté gros méchant laid!) qui ont perdu leurs parents dans un terrible incendie et qui essaient, encore et toujours, d'échapper au terrible comte Olaf qui veut mettre la main sur leur héritage. Ils se retrouvent donc chez un tuteur au nom inconnu, toujours caché par un nuage de fumée de cigare, propriétaire d'une scierie, qui les fait travailler pour bénéficier de sa protection, qui les nourrie de chewing-gum en guise de repas et qui les envoie chez l'hypnotiseuse du coin et sa secrétaire "particulière". Bref, cela va encore une fois mal se terminer.
Je commence à me lasser des aventures des Baudelaire... Jugez plutôt, j'ai lu le livre après un journée de ski, soit avec un cerveau en marmelade et totalement gelé. L'histoire devient trop répétitive et bien trop enfantine, je m'ennuie!!!! Bon je vais persister malgré tout, car Lemony Snicket écrit des 4èmes de couverture vraiment marrantes, où il nous enjoint de reposer son livre car il est triste, affreux... Et puis à chaque fois, il dépose son manuscrit à un endroit incongru (un parking, à l'intérieur d'un siège d'opéra...), vous l'aurez compris, l'auteur entoure sa vie de mystères et d'humour, et le paratexte devient plus intéressant que le texte lui-même! Un comble!

Violette, Klaus et Prunille, les trois orphelins Baudelaire, sont envoyés à La Falotte-sur-Rabougre, chez leur nouveau tuteur directeur d'une scierie. Celui-ci est bien décidé à les faire travailler dans son entreprise.

Et si l'on ajoutait à la longue listes des aventures malheureuses arrivées aux orphelins Baudelaire le travail forcé ? En effet, les pauvres enfants vont se retrouver dans une scierie où ils devront encore une fois se méfier de tout le monde, y compris d'un comte Olaf déguisé.
Toujours construit sur le même modèle que les précédents, ce tome des orphelins Baudelaire pousse encore plus loin l'absurde, pour le plus grand plaisir des lecteurs, petits et grands.

Toujours aussi bien.