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Critique de Phoenicia


Si vous chercher une critique qui relate la lecture d'un récit gentil, amusant, navrée mais je crains fort que vous ne soyez pas en train de lire la bonne critique car le récit du tome 2 est tout aussi affligeant que celui du 1.

Cela étant dit, un tome 2 tout aussi bien réussi que le 1. Lemony Snicket utilise encore et encore la même recette : de l'humour sarcastique teintée d'un brin d'ironie, des personnages quelques peu caricaturaux et des situations tout aussi caricaturales. Les Orphelins Baudelaire sont confié à Montgomery Montgomery ( on se souviendra qu'il n'est pas très élégant de rire du nom des gens...), brillant herpétologue. Mais le Comte Olaf rôde encore, toujours aussi cupide et trame de sombres machinations pour s'emparer de la fortune des Baudelaire.

Avec Lemony Snicket, pas de surprise. On sait rapidement qui meurt. L'important n'est pas le qui puisque après tout, vu le manque de chance des orphelins, la mort est quelque part inévitable, ni le par qui, ça c'est vite décidé, mais surtout le quand. Toujours divisé en 13 chapitres, l'intrigue se lit vite, se lit bien. Au programme : des serpents, un rossignol, un gâteau à la coco et une séance
de L'Abominable zombie des neiges. Pas de quoi s'ennuyer.
Le narrateur est toujours aussi délicieusement présent, ponctuant ses interventions de petites leçons ou de souvenirs qui nous font sourire. Les personnages sont attachants. On se surprend, même si on sait bien que c'est impossible, à espérer une fin heureuse.
A la fin, toujours ces petits détails (sur le dessin comme dans le message de l'auteur) qui nous donne envie de sauter dans le trois.

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