Celles qui parlaient de livres érotiques se bornaient à citer des textes classiques Mandrargues, Bataille, Reage, ou même Sade. Autrement dit, des textes d’une extrême beauté littéraire. Même Emmanuelle, plusieurs fois cité mais malgré sa trivialité ne saurait être comparé aux films pornographiques projetes dans les salles spécialisées
Si nous parlons beaucoup de cinéma c’est qu’on nous en a beaucoup parlé. La plupart des femmes rencontrées associaient spontanément pornographie et films X. En même temps, pourtant ces mêmes femmes se déclaraient plus sensibles aux textes qu’a l’image, plus troublées, dans leur corps, par le livre érotique que par le film. Il y a là une petite contradiction qu’il faut considérer