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Critique de Piwai
Chouette un polar chinois decouvert par hasard dans un monticule de livres d'occasion ! Il est parfois intéressant d'aborder un pays, une société, un système, par le biais de la littérature noire.
Pour ce roman ce ne sera malheureusement pas la cas. Même si les noms et les sites ramènent évidemment à un coin de Chine, l'environnement ne joue aucun rôle dans le roman, dont l'histoire, de fait, aurait pu se dérouler n'importe où dans le monde.
Si le fond est neutre, rabattons-nous sur la forme. L'oeuvre se lit facilement, avec des coups de théatre réguliers et bienvenus, maintenant son intérêt.
Bon la trame est alambiquée, complexifiée à outrance, aux limites du crédible dépassé, mais l'écriture et le rythme rapide, les flash-back explicatifs, soutiennent efficacement une belle construction.
Le scénario est taillé tel un film d'action efficace, agréable mais sans laisser un souvenir impérissable.
Par contre la fin très ouverte laisse une impression d'inachevé, qui se révèle normale : il s'agit du premier tome d'une série, et le seul à avoir été traduit semble-t-il, laissant ainsi le lecteur frustré et comme perdu sans boussole au centre du désert. C'est ballot.
Pour ce roman ce ne sera malheureusement pas la cas. Même si les noms et les sites ramènent évidemment à un coin de Chine, l'environnement ne joue aucun rôle dans le roman, dont l'histoire, de fait, aurait pu se dérouler n'importe où dans le monde.
Si le fond est neutre, rabattons-nous sur la forme. L'oeuvre se lit facilement, avec des coups de théatre réguliers et bienvenus, maintenant son intérêt.
Bon la trame est alambiquée, complexifiée à outrance, aux limites du crédible dépassé, mais l'écriture et le rythme rapide, les flash-back explicatifs, soutiennent efficacement une belle construction.
Le scénario est taillé tel un film d'action efficace, agréable mais sans laisser un souvenir impérissable.
Par contre la fin très ouverte laisse une impression d'inachevé, qui se révèle normale : il s'agit du premier tome d'une série, et le seul à avoir été traduit semble-t-il, laissant ainsi le lecteur frustré et comme perdu sans boussole au centre du désert. C'est ballot.
