Depuis bien trop longtemps, je partage les mêmes obsessions que
Jim Harrison. Je n'aurai pas imaginé qu'un jour, vieux et patraque, dans un monde en vrac, je lirai une oeuvre posthume de ce poète. C'est troublant. Je vais devoir doubler ma dose de zafu et de marche à pied. Je suis plus grec que suédois, mais l'absence de ce grand frère me laisse la gueule de bois.
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