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Critique de fifi1791
Il y a peu de temps j'ai lu "Une année à la campagne" et malgré que le livre m'avait plu, j'avais été déçue car je m'attendais à autre chose. Et bien "Dans la forêt" de Jean Hegland, j'ai exactement trouvé ce que j'avais attendu dans l'autre livre et plus même :
- comment se débrouiller dans la nature quand il n'y a plus les biens de la société de consommation. Quels sont les risques présents ou à venir: les animaux, les hommes, les disputes, les imprévus, la météo.... tout y est dans seulement 300 pages.
Deux soeurs se retrouvent en effet seules dans la forêt dans la maison de leurs parents où elles ont grandi. La fin du monde de consommation est arrivée petit à petit et définitivement mais on ne sait pas pourquoi (ce n'est pas le sujet réellement). L'une est passionnée de danse, l'autre de savoir. Alors, tous les jours elles se cantonnent à leurs passions. Mais petit à petit, les vivres diminuent et bientôt il ne restera plus rien. Alors grâce à leurs instincts (surtout celui de Nell, la narratrice) et aux livres en leur possession, elles vont semer, mettre en bocaux, séchés.
Et ce qui manque, elles vont faire en sorte de trouver des substituts ou apprendre à vivre sans.
Je ne dis pas que ce serait facile mais un abris, à manger obtenu grâce à mon travail de la terre et des livres, ce serait déjà un bon départ.
- comment se débrouiller dans la nature quand il n'y a plus les biens de la société de consommation. Quels sont les risques présents ou à venir: les animaux, les hommes, les disputes, les imprévus, la météo.... tout y est dans seulement 300 pages.
Deux soeurs se retrouvent en effet seules dans la forêt dans la maison de leurs parents où elles ont grandi. La fin du monde de consommation est arrivée petit à petit et définitivement mais on ne sait pas pourquoi (ce n'est pas le sujet réellement). L'une est passionnée de danse, l'autre de savoir. Alors, tous les jours elles se cantonnent à leurs passions. Mais petit à petit, les vivres diminuent et bientôt il ne restera plus rien. Alors grâce à leurs instincts (surtout celui de Nell, la narratrice) et aux livres en leur possession, elles vont semer, mettre en bocaux, séchés.
Et ce qui manque, elles vont faire en sorte de trouver des substituts ou apprendre à vivre sans.
Je ne dis pas que ce serait facile mais un abris, à manger obtenu grâce à mon travail de la terre et des livres, ce serait déjà un bon départ.
