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Critique de forcevertelit
C'est un feel-good sympathique, sans grande surprise, qui se lit tranquillement mais alors, je ne comprends vraiment pas la fin. Ca se termine d'une manière très abrupte et extrêmement frustrante. C'est peut-être ridicule mais la fin d'un livre est importante, et même s'il y a une suite, est-ce une raison pour arrêter l'histoire comme ça ? Ca laisse plus un goût d'inachevé qu'un effet cliffhanger... Au moment où je commençais à apprécier l'intrigue, bim, fin du roman. Non, vraiment, ça m'a terriblement frustrée et ennuyée.
Le synopsis est vu et revu : une femme qui va dans les Cornouailles (c'est vraiment la zone en Angleterre des nouveaux départs dans les romans feel-good, j'ai l'impression), qui se lance à bras le corps dans un projet qui va venir réveiller des rêves d'enfant, elle va reprendre goût à la vie et va se retrouver dans une sorte de triangle amoureux.
Donc oui, c'est agréable, ça fait toujours du bien au coeur de lire ce genre de roman mais dans le même genre, je préfère largement La petite boulangerie du bout du monde de Jenny Colgan, qui m'a fait frissonner et vibrer.
Néanmoins, parlons aussi des points forts : l'ambiance vieux cinéma, les références aux films classiques, le projet de rénovation d'un ancien train, cette ambiance un peu old school change un peu. Les péripéties familiales et amoureuses restent efficaces, d'un côté le grand-père italien bourru mais au grand coeur, de l'autre, une relation de couple banale avec un homme qui ne lui ressemble pas tant que ça, perturbée par la relation qui se noue entre Gina et un ancien ami d'enfance bien trop beau.
Bref, une lecture d'été sympathique, sur la plage, à condition de se munir du tome 2 afin d'éviter la frustration !
Le synopsis est vu et revu : une femme qui va dans les Cornouailles (c'est vraiment la zone en Angleterre des nouveaux départs dans les romans feel-good, j'ai l'impression), qui se lance à bras le corps dans un projet qui va venir réveiller des rêves d'enfant, elle va reprendre goût à la vie et va se retrouver dans une sorte de triangle amoureux.
Donc oui, c'est agréable, ça fait toujours du bien au coeur de lire ce genre de roman mais dans le même genre, je préfère largement La petite boulangerie du bout du monde de Jenny Colgan, qui m'a fait frissonner et vibrer.
Néanmoins, parlons aussi des points forts : l'ambiance vieux cinéma, les références aux films classiques, le projet de rénovation d'un ancien train, cette ambiance un peu old school change un peu. Les péripéties familiales et amoureuses restent efficaces, d'un côté le grand-père italien bourru mais au grand coeur, de l'autre, une relation de couple banale avec un homme qui ne lui ressemble pas tant que ça, perturbée par la relation qui se noue entre Gina et un ancien ami d'enfance bien trop beau.
Bref, une lecture d'été sympathique, sur la plage, à condition de se munir du tome 2 afin d'éviter la frustration !
