L'Empereur-Dieu de Dune n'est pas passionnant à lire.
Frank Herbert donne l'impression d'être en panne sèche d'inspiration et nous délivre des tunnels de dialogues soporifiques au sein d'un univers austère et monotone. L'annonce d'un mariage au court du récit vient appuyer cette sensation de lire un vaudeville sérieux de space-opera. Même si l'auteur fait tout son possible pour décrire avec précision le quotidien de Leto et ses tractations infinies avec les êtres, les ordres et le cosmos tout entier, à aucun moment, nous ne sommes saisis par ce vertige indéfinissable qui caractérisait avec brio et de différentes manières les précédents volumes...
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