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Critique de grm-uzik
"Le repaire des rats" est une suite au classique "Les rats" du génial et regretté James Herbert.
Les rats sont de retour après le carnage qu'ils ont causés à Londres. Ils sont désormais plus grand, plus audacieux, plus rusés, plus déterminés et plus terribles que jamais, assoiffés de sang et avides de chair humaine.
Ils sont redoutablement malins, très vifs, extrêmement rapides et nombreux. Nul n'est hors de leur portée et nul ne survit à leur attaque.
L'amor des rats, c'est quasiment impossible et la mort aux rats, encore moins puisqu'elle ne leur fait aucun effet. le second tome m'a littéralement coupé le souffle. Il est plus sombre, plus retentissant et bien plus saignant que le précédent. Un pur moment de délice pour les amateurs du genre. Hémoglobines et hurlements de terreur sont de la partie, sans oublier ces
moments de calme avant la tempête, ces instants d'agonie que l'auteur n'hésitait à prendre un malin plaisir à nous décrire dans le moindre détail, ces fausses victoires et les traquenards des rats. La suite de cette aventure sanguinolente est toujours aussi frissonnante, saignante et violente jusqu'au dénouement final. Ici tout y est : l'ambiance gore et brutale avec notamment, des passages sanglants. Ce que j'ai apprécié par dessus tout, c'est bel et bien la montée en puissance qui est beaucoup plus lente, sachant que les rats sont plus méfiants et que nous les hommes, nous sommes complètement inconscients de leur présence. du surcroît, le changement d'environnement apporte de nouvelles possibilités qui sont bien exploitées, que l'on en apprend un peu plus sur les rats mutants, sur leur organisation et leur mode de fonctionnement. James Herbert avait rédigé ce livre dans un style simpliste et brut de décoffrage sans chichis. Je le conseille fortement aux amateurs avides d'épouvante et de gore. Un véritable must Herbertien des années 80.
Les rats sont de retour après le carnage qu'ils ont causés à Londres. Ils sont désormais plus grand, plus audacieux, plus rusés, plus déterminés et plus terribles que jamais, assoiffés de sang et avides de chair humaine.
Ils sont redoutablement malins, très vifs, extrêmement rapides et nombreux. Nul n'est hors de leur portée et nul ne survit à leur attaque.
L'amor des rats, c'est quasiment impossible et la mort aux rats, encore moins puisqu'elle ne leur fait aucun effet. le second tome m'a littéralement coupé le souffle. Il est plus sombre, plus retentissant et bien plus saignant que le précédent. Un pur moment de délice pour les amateurs du genre. Hémoglobines et hurlements de terreur sont de la partie, sans oublier ces
moments de calme avant la tempête, ces instants d'agonie que l'auteur n'hésitait à prendre un malin plaisir à nous décrire dans le moindre détail, ces fausses victoires et les traquenards des rats. La suite de cette aventure sanguinolente est toujours aussi frissonnante, saignante et violente jusqu'au dénouement final. Ici tout y est : l'ambiance gore et brutale avec notamment, des passages sanglants. Ce que j'ai apprécié par dessus tout, c'est bel et bien la montée en puissance qui est beaucoup plus lente, sachant que les rats sont plus méfiants et que nous les hommes, nous sommes complètement inconscients de leur présence. du surcroît, le changement d'environnement apporte de nouvelles possibilités qui sont bien exploitées, que l'on en apprend un peu plus sur les rats mutants, sur leur organisation et leur mode de fonctionnement. James Herbert avait rédigé ce livre dans un style simpliste et brut de décoffrage sans chichis. Je le conseille fortement aux amateurs avides d'épouvante et de gore. Un véritable must Herbertien des années 80.
