Il y manque les odeurs, la mort imprégnant les textiles, et l'impossibilité de chasser l'humidité lourde, humiliante. Jamais secs, jamais propres, la boue et les poudres, la cendre, le napalm, la sueur, les sécrétions. La pourriture de la jungle, doucereuse, l'impossibilité de chasser la terreur de sous les tentes, l'herbe et l'alcool froids.
Il n'y manque que l'odeur.
Dispatches est un putain de chef d'oeuvre.
Lien :
https://pamelaramos.fr/putai.. Commenter  J’apprécie         30