Dans notre ferme, nous cherchons à inventer un mode de vie selon notre cœur : en phase avec notre temps, mais également connecté à ce qu'il y a de "sauvage" en nous.
Lorsqu'il détruit les vers de terre, l'agriculteur s'impose le lourd fardeau de devoir remplacer, par du travail et des intrants, toutes les tâches qu'ils accomplissaient gratuitement.