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Critique de austen
J'ai reçu « un dernier été « dans le cadre d'une masse critique spéciale « lectures d'été » en collaboration avec RTL. Je ne connaissais pas du tout Elin Hilderbrand, du coup ça a été une bonne surprise pour moi de découvrir son univers.
D'abord, le lieu: l'île de Nantucket. Il semblerait que tous ses romans se déroulent sur place, et que ce soit le meilleur endroit du monde. En tous cas , je recommanderais sans hésiter à l'office du tourisme de Nantucket de rénumérer Elin Hilderbrand. Chacun de ses mots est une déclaration d'amour à ce lieu qui paraît magique. J'avais emmené « un dernier été » avec moi en vacances puisqu'il était écrit sur la 4e de couverture que madame Hilderbrand est « la reine du roman d'été ». le roman m'a donc accompagnée dans l'île des Caraïbes où se déroulaient mes vacances. Et bien par moment, j'ai eu des envies de couchers de soleil à Nantucket et de sandwich au homard avec un cocktail au whisky plutôt que le bain dans une eau turquoise avec punch planteur qui m'attendaient… Pour dire !!
Quant aux personnages et à l'histoire d' « un dernier été », je dirais que c'est assez convenu: Vivi, une écrivaine d'un certain renom, meurt accidentellement au début de l'été, à Nantucket. de son nouveau lieu de séjour, on lui accorde le droit d'observer, et éventuellement aider, ceux qu'elle aime et vient de quitter, le temps de l'été à venir. le postulat est sympa, et il permet au lecteur de faire des allers et retours dans le temps et parmi les divers personnages. On rencontre donc Willa, Carson et Leo les trois enfants de Vivi, J.P. son ex mari, Savannah sa meilleure amie, ainsi que tous ceux qui gravitent autour de la famille.
C'est assez intéressant de les voir évoluer après le deuil. On sait tous combien ces périodes sont stressantes et dures. Malgré les thèmes abordés dans le roman: deuil, infidélité , racisme, drogues… on ne sombre jamais dans le pathos. L'autrice n'en fait pas trop et reste assez factuelle.
Cependant, j'ai eu du mal à être en empathie avec la plupart des personnages. Carson par exemple, n'est pas très agréable comme jeune femme. Je vous laisse le soin de la découvrir, mais perso, je me dirais que j'ai raté un truc si c'était ma fille. Ce surplomb absolu décidé par le postulat de la rémanence de Vivi nous plonge au coeur même des vies de sa famille avant que nous ayons eu le temps de faire leur connaissance.
Bon, avec ce roman, je suis clairement sorti de ma zone habituelle de lecture. Je ne savais même pas qu'il existait des romans de plage! Mais j'avoue avoir passé un bon moment avec celui-ci. Je ne m'attendais à rien, et j'ai été dépaysée sans prise de tête. Sur la plage avec mon roman, je me suis prise à rêver d'un été à Nantucket, avec soirées à l'Huîtrier à manger des palourdes et boire du chardonnay…
D'abord, le lieu: l'île de Nantucket. Il semblerait que tous ses romans se déroulent sur place, et que ce soit le meilleur endroit du monde. En tous cas , je recommanderais sans hésiter à l'office du tourisme de Nantucket de rénumérer Elin Hilderbrand. Chacun de ses mots est une déclaration d'amour à ce lieu qui paraît magique. J'avais emmené « un dernier été » avec moi en vacances puisqu'il était écrit sur la 4e de couverture que madame Hilderbrand est « la reine du roman d'été ». le roman m'a donc accompagnée dans l'île des Caraïbes où se déroulaient mes vacances. Et bien par moment, j'ai eu des envies de couchers de soleil à Nantucket et de sandwich au homard avec un cocktail au whisky plutôt que le bain dans une eau turquoise avec punch planteur qui m'attendaient… Pour dire !!
Quant aux personnages et à l'histoire d' « un dernier été », je dirais que c'est assez convenu: Vivi, une écrivaine d'un certain renom, meurt accidentellement au début de l'été, à Nantucket. de son nouveau lieu de séjour, on lui accorde le droit d'observer, et éventuellement aider, ceux qu'elle aime et vient de quitter, le temps de l'été à venir. le postulat est sympa, et il permet au lecteur de faire des allers et retours dans le temps et parmi les divers personnages. On rencontre donc Willa, Carson et Leo les trois enfants de Vivi, J.P. son ex mari, Savannah sa meilleure amie, ainsi que tous ceux qui gravitent autour de la famille.
C'est assez intéressant de les voir évoluer après le deuil. On sait tous combien ces périodes sont stressantes et dures. Malgré les thèmes abordés dans le roman: deuil, infidélité , racisme, drogues… on ne sombre jamais dans le pathos. L'autrice n'en fait pas trop et reste assez factuelle.
Cependant, j'ai eu du mal à être en empathie avec la plupart des personnages. Carson par exemple, n'est pas très agréable comme jeune femme. Je vous laisse le soin de la découvrir, mais perso, je me dirais que j'ai raté un truc si c'était ma fille. Ce surplomb absolu décidé par le postulat de la rémanence de Vivi nous plonge au coeur même des vies de sa famille avant que nous ayons eu le temps de faire leur connaissance.
Bon, avec ce roman, je suis clairement sorti de ma zone habituelle de lecture. Je ne savais même pas qu'il existait des romans de plage! Mais j'avoue avoir passé un bon moment avec celui-ci. Je ne m'attendais à rien, et j'ai été dépaysée sans prise de tête. Sur la plage avec mon roman, je me suis prise à rêver d'un été à Nantucket, avec soirées à l'Huîtrier à manger des palourdes et boire du chardonnay…
