Extrait de ma chronique :
"Mieux encore, les dessins viennent renforcer l'impeccable travail scénaristique de setup-payoff, que
Joe Hill ne mène donc pas que dans les dialogues : ainsi, la première pleine page du comics (page 14) n'a pas que pour rôle de faire un clin d'oeil au Maine imaginaire de
Stephen King (la mention "Shawshank prison" sur le camion) ; elle doit aussi nous amener à nous poser la même question que June page 69 ("les prisonniers reconstruisaient votre muret ?")
A la jubilation de voir June abattre l'un
après l'autre les symboles de l'Amérique bourgeoise des années 80 s'ajoute donc le plaisir de voir comment
Joe Hill nous avait tout annoncé, absolument tout – mais que nous n'avions rien vu ou rien entendu, prenant pour de l'anecdotique ce qui se révélera capital..."
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